Lanzarote - Eté 2011
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Re: Lanzarote - Eté 2011
Un des clous de notre séjour fut la journée de visite au Parc National de Timanfaya.
Au cours des années 1730 et 1736, la région occidentale du centre de Lanzarote fut bouleversée par une intense activité volcanique, pendant laquelle se succédèrent explosions, tremblements, et coulées de lave. Le centre de l'activité volcanique eut lieu dans le Macizo del Fuego (Massif du Feu) ou de Timanfaya, où plus de 25 cratères s'ouvrirent, et couvrirent de lave, de cendres, de bombes et de lapilli presque 20000 hectares de terrain, transformant les plaines fertiles en un paysage désolé, noirci et inhospitalier, et ensevelissant des hameaux entiers, bien qu'aucune victime mortelle n'ait été recensée à l'époque. Une autre éruption, de moindre ampleur, ouvrit encore 3 cheminées en 1824.
Le Parc National de Timanfaya, ancré entre les municipalités de Yaiza et Tinajo, fut créé en 1974, et jouit de la dénomination de protection maximale pour un espace naturel. C'est un paysage inorganique et minéral, surprenant mélange de couleurs sombres, rouges, brunes ou dorées, coupées de lave noire, et couvrant 54 km². L'entrée du parc est signalée par l'emblème d'un diablotin, imaginé par l'inévitable César Manrique :

A l'entrée du parc, il est possible de faire une promenade à dos de dromadaires parmi les paysages volcaniques désolés. Nous avons opté pour une promenade de 20 minutes, installés dans des sièges situés de part et d'autre de la bosse de l'animal. Si vous ne souffrez pas de problèmes du type mal de mer, c'est là une expérience sympa et amusante. J'ai pu cependant me rendre compte à mes dépens que les dromadaires n'ont pas spécialement bon caractère, et on comprend pourquoi les guides veillent à ce qu'ils aient une muselière


Au passage, à d'autres endroits dans l'île, il est possible de faire des promenades plus longues à dos de dromadaires, avec cette fois un dromadaire par personne, en étant installé directement sur la bosse comme un bédouin, mais le prix était très prohibitif, et nous y avons renoncé.
Une peu plus loin, nous arrivons à l'accès au site de la Montana del Fuego. C'est un endroit époustouflant, situé dans une zone de 7000 m² où l'on trouve encore une activité géothermique, appelée "anomalies", puisqu'elle apparaît dans une zone volcanique "froide". Sur l'Islote de Hilario, ainsi appelé parce qu'un homme dénommé Hilario vécut là dans la solitude avec son chameau, des guides nous font des démonstrations de cette activité. Ils nous donnent une petite poignée de gravier volcanique, récolté en creusant à peine le sol, qu'il est quasiment impossible de tenir en main tellement il est chaud. Ils nous montrent un creux dans le sol dans lequel ils plongent une touffe d'ajoncs qui s'enflamme aussitôt. Plus loin, un petit tuyau sort du sol, et un guide nous produit un mini-geyser en y versant de l'eau. C'est très impressionnant !


A cet endroit, la température atteint les 400°C à une profondeur de 2 mètres. César Manrique y conçut le Restaurante el Diablo, un édifice circulaire dont la façade est ornée de pierres volcaniques qui s'intègre parfaitement dans le paysage. A l'intérieur, un puits de 5 m de profondeur connaît des températures variant entre 80 et 200°C et s'utilise comme four naturel pour cuire la viande servie par le restaurant. La chaleur est telle qu'il est impossible de rester au-dessus du puits, et nous avons bien sûr dégusté un plat de viande cuit sur place. Voici une vue de l'intérieur du restaurant, avec une décoration rappelant l'histoire de l'ermite Hilario et de son chameau :

Un petit regret pour notre part : l'information n'étant pas très claire, nous n'avons pas vu à temps que, dans le prix d'entrée au parc était compris un circuit en car pour aller voir de plus près quelques curiosités du paysage volcanique. L'accès est effectivement très réglementé, et il est interdit de faire la route à pied ou en véhicule privé.
De manière plus générale, à l'intérieur du Parc National, il est interdit de quitter les routes et chemins prévus. En particulier, on ne peut pas aller promener dans les champs de lave pétrifiée, où une empreinte de pas mettrait des décennies avant de disparaître.
Il s'agit d'un environnement naturel fragile, qui semble à première vue inerte, mais où l'on décèle, en étant plus attentif, une vie végétale et animale discrète : de nombreux lichens aux couleurs variées, quelques plantes épineuses, l'un ou l'autre lézard ou oiseau, etc.
Quoiqu'il en soit, il s'agit d'un paysage magnifique dans lequel on se sent tout petit...

De l'autre côté du parc, nous avons également visité le Centre des Visiteurs, qui nous explique les phénomènes géologiques qu'a connu l'île, nous montre différentes maquettes illustrant l'abondance des cratères volcaniques sur Lanzarote, présente les espèces animales et végétales présentes dans le parc. Dans une cave du Centre, on assiste à une reconstitution très bien réalisée des éruptions du XXVIIIe siècle. A l'extérieur du bâtiment, une longue passerelle permet une promenade au-dessus de champ de lave, avec indication des principaux cratères visibles à l'horizon. Nous y étions...

Au cours des années 1730 et 1736, la région occidentale du centre de Lanzarote fut bouleversée par une intense activité volcanique, pendant laquelle se succédèrent explosions, tremblements, et coulées de lave. Le centre de l'activité volcanique eut lieu dans le Macizo del Fuego (Massif du Feu) ou de Timanfaya, où plus de 25 cratères s'ouvrirent, et couvrirent de lave, de cendres, de bombes et de lapilli presque 20000 hectares de terrain, transformant les plaines fertiles en un paysage désolé, noirci et inhospitalier, et ensevelissant des hameaux entiers, bien qu'aucune victime mortelle n'ait été recensée à l'époque. Une autre éruption, de moindre ampleur, ouvrit encore 3 cheminées en 1824.
Le Parc National de Timanfaya, ancré entre les municipalités de Yaiza et Tinajo, fut créé en 1974, et jouit de la dénomination de protection maximale pour un espace naturel. C'est un paysage inorganique et minéral, surprenant mélange de couleurs sombres, rouges, brunes ou dorées, coupées de lave noire, et couvrant 54 km². L'entrée du parc est signalée par l'emblème d'un diablotin, imaginé par l'inévitable César Manrique :

A l'entrée du parc, il est possible de faire une promenade à dos de dromadaires parmi les paysages volcaniques désolés. Nous avons opté pour une promenade de 20 minutes, installés dans des sièges situés de part et d'autre de la bosse de l'animal. Si vous ne souffrez pas de problèmes du type mal de mer, c'est là une expérience sympa et amusante. J'ai pu cependant me rendre compte à mes dépens que les dromadaires n'ont pas spécialement bon caractère, et on comprend pourquoi les guides veillent à ce qu'ils aient une muselière



Au passage, à d'autres endroits dans l'île, il est possible de faire des promenades plus longues à dos de dromadaires, avec cette fois un dromadaire par personne, en étant installé directement sur la bosse comme un bédouin, mais le prix était très prohibitif, et nous y avons renoncé.
Une peu plus loin, nous arrivons à l'accès au site de la Montana del Fuego. C'est un endroit époustouflant, situé dans une zone de 7000 m² où l'on trouve encore une activité géothermique, appelée "anomalies", puisqu'elle apparaît dans une zone volcanique "froide". Sur l'Islote de Hilario, ainsi appelé parce qu'un homme dénommé Hilario vécut là dans la solitude avec son chameau, des guides nous font des démonstrations de cette activité. Ils nous donnent une petite poignée de gravier volcanique, récolté en creusant à peine le sol, qu'il est quasiment impossible de tenir en main tellement il est chaud. Ils nous montrent un creux dans le sol dans lequel ils plongent une touffe d'ajoncs qui s'enflamme aussitôt. Plus loin, un petit tuyau sort du sol, et un guide nous produit un mini-geyser en y versant de l'eau. C'est très impressionnant !


A cet endroit, la température atteint les 400°C à une profondeur de 2 mètres. César Manrique y conçut le Restaurante el Diablo, un édifice circulaire dont la façade est ornée de pierres volcaniques qui s'intègre parfaitement dans le paysage. A l'intérieur, un puits de 5 m de profondeur connaît des températures variant entre 80 et 200°C et s'utilise comme four naturel pour cuire la viande servie par le restaurant. La chaleur est telle qu'il est impossible de rester au-dessus du puits, et nous avons bien sûr dégusté un plat de viande cuit sur place. Voici une vue de l'intérieur du restaurant, avec une décoration rappelant l'histoire de l'ermite Hilario et de son chameau :

Un petit regret pour notre part : l'information n'étant pas très claire, nous n'avons pas vu à temps que, dans le prix d'entrée au parc était compris un circuit en car pour aller voir de plus près quelques curiosités du paysage volcanique. L'accès est effectivement très réglementé, et il est interdit de faire la route à pied ou en véhicule privé.
De manière plus générale, à l'intérieur du Parc National, il est interdit de quitter les routes et chemins prévus. En particulier, on ne peut pas aller promener dans les champs de lave pétrifiée, où une empreinte de pas mettrait des décennies avant de disparaître.
Il s'agit d'un environnement naturel fragile, qui semble à première vue inerte, mais où l'on décèle, en étant plus attentif, une vie végétale et animale discrète : de nombreux lichens aux couleurs variées, quelques plantes épineuses, l'un ou l'autre lézard ou oiseau, etc.
Quoiqu'il en soit, il s'agit d'un paysage magnifique dans lequel on se sent tout petit...

De l'autre côté du parc, nous avons également visité le Centre des Visiteurs, qui nous explique les phénomènes géologiques qu'a connu l'île, nous montre différentes maquettes illustrant l'abondance des cratères volcaniques sur Lanzarote, présente les espèces animales et végétales présentes dans le parc. Dans une cave du Centre, on assiste à une reconstitution très bien réalisée des éruptions du XXVIIIe siècle. A l'extérieur du bâtiment, une longue passerelle permet une promenade au-dessus de champ de lave, avec indication des principaux cratères visibles à l'horizon. Nous y étions...


Re: Lanzarote - Eté 2011
Ah ben, c'est carrément flippant cette histoire de chaleur à deux mètres sous terre !!!
Par contre, je trouve l'idée du resto géniale, la viande cuite dans un puits à la chaleur naturelle, ça doit avoir un goût particulier, ne serait ce que psychologiquement !! En tout cas, très belle expérience que vous avez du vivre là !!
Je ne savais pas que les dromadaires avaient mauvais caractère, je viens de faire le rapprochement mais c'est la même famille que les Lamas, non ??

Par contre, je trouve l'idée du resto géniale, la viande cuite dans un puits à la chaleur naturelle, ça doit avoir un goût particulier, ne serait ce que psychologiquement !! En tout cas, très belle expérience que vous avez du vivre là !!
Je ne savais pas que les dromadaires avaient mauvais caractère, je viens de faire le rapprochement mais c'est la même famille que les Lamas, non ??
Pit- Résident
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Age : 45
Localisation : Vaucluse
Date d'inscription : 12/05/2011
Re: Lanzarote - Eté 2011
Oui, les lamas et les dromadaires ou les chameaux font partie des camélidés
En fait, après la promenade, j'ai voulu faire une photo à côté du dromadaire, et celui-ci s'est retourné d'un coup sur moi avec un grognement, et je crois bien qu'il m'aurait mordue s'il n'avait pas eu sa muselière... En même temps, balader des touristes toute la journée sur les même chemins, il y a de quoi être nerveux
Pour la viande, je n'ai pas trouvé que ça donnait un goût particulier, mais bon c'est l'effet psychologique de se dire qu'on a mangé de la viande cuite sur la chaleur volcanique résiduelle, ça le fait

En fait, après la promenade, j'ai voulu faire une photo à côté du dromadaire, et celui-ci s'est retourné d'un coup sur moi avec un grognement, et je crois bien qu'il m'aurait mordue s'il n'avait pas eu sa muselière... En même temps, balader des touristes toute la journée sur les même chemins, il y a de quoi être nerveux

Pour la viande, je n'ai pas trouvé que ça donnait un goût particulier, mais bon c'est l'effet psychologique de se dire qu'on a mangé de la viande cuite sur la chaleur volcanique résiduelle, ça le fait

Re: Lanzarote - Eté 2011
Chaque dimanche, dans la ville historique de Teguise, a lieu le traditionnel Mercadillo popular, le marché qui s'étend dans les rues de la vieille ville, et propose de nombreux produits typiques, à côté des inévitables échoppes d'objets hétéroclites que l'on retrouve dans de nombreux marchés du même type. C'est l'occasion d'une promenade dans l'ancienne capitale de Lanzarote, qui propose également de nombreux magasins de souvenirs.
Nous avons également eu l'occasion d'écouter, au beau milieu du marché, une troupe de musiciens traditionnels :

Et voici une vue de la place de Teguise avec le marché :

Sur les extérieurs de la ville, on peut grimper le chemin pentu qui mène sur la cime du volcan de Guanapay, où se trouve le Castillo de Santa Barbara, le plus vieux des îles Canaries. La forteresse a été aujourd'hui réaménagée et héberge le musée de la piraterie, malheureusement fermé quand nous sommes passés. Des abords du Castillo, on a de plus une belle vue sur la vallée de Teguise et, de l'autre côté, sur la côte de l'île.
Voici une vue du Castillo :

Et, depuis le chemin qui y mène, une vue générale de la ville de Teguise :

Les deux photos montrent également à quel point l'allure du ciel peut changer rapidement, notamment à cause de la force des vents, qui rendent en plus ce trajet sur une route assez pentue plutôt sportif
Après la journée à Teguise, nous sommes allés jusqu'à la plage de Famara, sur la côte nord de l'île. C'est une immense plage de sable à l'allure assez sauvage, bordée par les massifs montagneux de Famara-Guatifay, qui comprennent le plus haut sommet de l'île, à 670 m au-dessus du niveau de la mer (ce qui montre que Lanzarote propose nettement moins de relief que Tenerife, avec le Teide qui culmine lui à 3718 m). Depuis la plage de Famara, on a également une belle vue sur les îlots de l'archipel Chinijo, à condition sans doute d'avoir un ciel un peu moins bouché que ce que nous avons connu
Comme la plage est constamment fouettée par les vents des alizés en provenance de l'Atlantique, elle est considérée comme un peu dangereuse pour les baigneurs, mais est très appréciée par les amateurs de surf, de parapente, ou autres sports du même genre.
Voici une vue de la plage, avec les murs verticaux du massif montagneux, et les îlots dans le fond :

Et une autre où l'on voit bien les grandes étendues de sable :

Nous avons également eu l'occasion d'écouter, au beau milieu du marché, une troupe de musiciens traditionnels :

Et voici une vue de la place de Teguise avec le marché :

Sur les extérieurs de la ville, on peut grimper le chemin pentu qui mène sur la cime du volcan de Guanapay, où se trouve le Castillo de Santa Barbara, le plus vieux des îles Canaries. La forteresse a été aujourd'hui réaménagée et héberge le musée de la piraterie, malheureusement fermé quand nous sommes passés. Des abords du Castillo, on a de plus une belle vue sur la vallée de Teguise et, de l'autre côté, sur la côte de l'île.
Voici une vue du Castillo :

Et, depuis le chemin qui y mène, une vue générale de la ville de Teguise :

Les deux photos montrent également à quel point l'allure du ciel peut changer rapidement, notamment à cause de la force des vents, qui rendent en plus ce trajet sur une route assez pentue plutôt sportif

Après la journée à Teguise, nous sommes allés jusqu'à la plage de Famara, sur la côte nord de l'île. C'est une immense plage de sable à l'allure assez sauvage, bordée par les massifs montagneux de Famara-Guatifay, qui comprennent le plus haut sommet de l'île, à 670 m au-dessus du niveau de la mer (ce qui montre que Lanzarote propose nettement moins de relief que Tenerife, avec le Teide qui culmine lui à 3718 m). Depuis la plage de Famara, on a également une belle vue sur les îlots de l'archipel Chinijo, à condition sans doute d'avoir un ciel un peu moins bouché que ce que nous avons connu

Comme la plage est constamment fouettée par les vents des alizés en provenance de l'Atlantique, elle est considérée comme un peu dangereuse pour les baigneurs, mais est très appréciée par les amateurs de surf, de parapente, ou autres sports du même genre.
Voici une vue de la plage, avec les murs verticaux du massif montagneux, et les îlots dans le fond :

Et une autre où l'on voit bien les grandes étendues de sable :

Dernière édition par PiPhie le Dim 13 Nov - 16:46, édité 1 fois
Re: Lanzarote - Eté 2011
Pour changer un peu du centre touristique de Puerto del Carmen, le plus proche de l'endroit où nous logions, nous avons passé quelques agréables moments de tourites à flâner à Playa Blanca, sur l'extrême sud de l'île. C'est un endroit agréable, proposant une offre touristique variée, et une jolie promenade le long de la côte, avec un petit port, et quelques plages donnant sur une eau claire et limpide. Juste en face de la côte, on peut voir l'île voisine de Fuerteventura, facilement accessible en moins d'une demi-heure de bateau. Nous n'avons cependant pas fait le déplacement jusque là, préférant profiter des plaisirs de Lanzarote.
Playa Blanca offre en particulier de nombreux restaurants avec vue sur l'océan, et parmi ceux-ci, je vous conseille le Brisa del Mar, qui offre une cuisine typiquement canarienne délicieuse, dans une ambiance agréable. Leur choix de poissons est en particulier étendu, et une carte spécifique vous montre l'ensemble des poissons comestibles que l'on peut pêcher à proximité. Nous avons en plus sympathisé avec deux serveurs, de joyeux lurons très souriants, et nous avons donc mangé à plusieurs reprises à cet endroit.
Voici une vue de la côte de Plata Blanca avec ses eaux cristallines :

Et un joli passage dans la ville vers les plages :

A proximité de la ville, on peut aller promener près du Faro de Carretera, phare en lui-même plutôt délabré, mais dont les alentours permettent une belle vue sur l'île voisine de Furteventura :

La fin de journée près du phare nous a permis un moment zen, à observer le soleil descendre sur l'océan, et je terminerai ce carnet de voyage par une jolie photo illustrant ce moment...

Hasta luego Lanzarote...
Playa Blanca offre en particulier de nombreux restaurants avec vue sur l'océan, et parmi ceux-ci, je vous conseille le Brisa del Mar, qui offre une cuisine typiquement canarienne délicieuse, dans une ambiance agréable. Leur choix de poissons est en particulier étendu, et une carte spécifique vous montre l'ensemble des poissons comestibles que l'on peut pêcher à proximité. Nous avons en plus sympathisé avec deux serveurs, de joyeux lurons très souriants, et nous avons donc mangé à plusieurs reprises à cet endroit.
Voici une vue de la côte de Plata Blanca avec ses eaux cristallines :

Et un joli passage dans la ville vers les plages :

A proximité de la ville, on peut aller promener près du Faro de Carretera, phare en lui-même plutôt délabré, mais dont les alentours permettent une belle vue sur l'île voisine de Furteventura :

La fin de journée près du phare nous a permis un moment zen, à observer le soleil descendre sur l'océan, et je terminerai ce carnet de voyage par une jolie photo illustrant ce moment...

Hasta luego Lanzarote...

Re: Lanzarote - Eté 2011
magnifique cette région visiblement très belles photos
et je constate que le père Jean-Fi n'a d'yeux que pour les jolies plantes qu'il croise




schumi7F- Accroc
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Date d'inscription : 26/09/2011
Re: Lanzarote - Eté 2011
ben tiens normal quoi


schumi7F- Accroc
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