Critiques de films, cinéma, DVD...
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Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Nous n'avons pas encore regardé non plus, avec les exams, j'ai peu de temps pour la télé, mais dès que j'ai fini les soirées de corrections, j'y pense
Et il y a un livre tiré du film qui me tente également
Et il y a un livre tiré du film qui me tente également
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Le film Home sortait sur tous les supports en même temps le 5 juin.
En Belgique, le DVD et le BRD sont indisponibles à cause de l'absence d'accords commerciaux avec les distributeurs.
Résultat, les gens le télécharge gratuitement, ce qui était prévu, mais les ventes à petit prix des supports digitaux auraient permis de financer quelques projets écologiques.
Bandes de crétins dégénérés
En Belgique, le DVD et le BRD sont indisponibles à cause de l'absence d'accords commerciaux avec les distributeurs.
Résultat, les gens le télécharge gratuitement, ce qui était prévu, mais les ventes à petit prix des supports digitaux auraient permis de financer quelques projets écologiques.
Bandes de crétins dégénérés
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Il s'agissait de faire un jour un geste. Perso, je vais acheter le livre vu chez "Nature...". Il y a forcément une partie des bénéfices de sa vente qui ira à cette juste cause et il semble de toute manière très instructif.
StfMarj- Résident
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Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
3h10 pour Yuma
Ben Wade est un gangster à la tête d'une troupe de cow-boys. Ils attaquent les dilligences de la compagnie de chemin de fer pour voler la paie des ouvriers. Aucun d'eux n'a de scrupule à tuer toute personne qui s'oppose à eux et même si c'est l'un d'entre eux.
Dan Evans est un fermier estropié lors de la guerre de sécession et qui est au bord de la ruine à cause de la sécheresse et d'un usurier. Les problèmes ont eu raison de l'amour de sa femme et du respect de ses fils.
Le jour où le chemin des deux hommes se croisent, Evans participe involontairement à l'arrestation de Wade et se retrouve bientôt à aider la petite troupe qui va convoyer le prisonnier vers le tribunal fédéral. Pour cela, ils doivent faire un voyage de plusieurs jours de cheval et embarquer sur le train à destination de Yuma, dans la petite ville de Contention. Mais les hommes de Wade sont sur leurs traces pour libérer leur chef.
Entre Wade qui inspire la peur et l'admiration et Evans qui voudrait bien regagner sa fierté et l'estime de son fils aîné, un véritable duel psychologique va débuter...
Remake de 3h10 pour Yuma de 1957 qui mettait en scène Glenn Ford dans le rôle de Wade, cette version de 2007 passe le flambeau à Russell Crowe qui campe un Ben Wade très convaincant. Sans scrupule ni sentiment, il utilise les gens quand il en a besoin et s'en débarrasse s'ils le gênent. L'acteur est impressionnant dans la façon dont il restitue le cynisme et la combattivité tout en apportant le côté respect que son personnage a envers l'intégrité et l'honnêteté. C'est un rôle très ambigu que Crowe joue là et d'excellente façon.
Dan Evans est incarné par l'étonnant Christian Bale, à des années-lumières de Batman. Il est à peine reconnaissable avec un visage et un corps meurtris, un regard éteint par la dureté de la vie, du moins au début du film, et la lassitude de voir la cruauté des hommes tels que Wade.
Au fur et à mesure du film, le personnage d'Evans gagne en intensité et en passion et Christian Bale joue à merveille la transition de la colère contenue à la franche détermination, de la résignation à la volonté farouche de gagner un combat, d'atteindre un but. Tout comme Crowe, Bale nous offre là un rôle exceptionnel et travaillé.
Dans un second rôle peu important, on notera l'apparition d'un Peter Fonda bien vieux et fatigué. Je l'avais trouvé mieux et plus crédible dans son rôle de Méphisto dans Ghostrider.
Bien qu'il s'agisse d'un western, 3h10 pour Yuma est beaucoup plus un un huis-clos et c'est surtout le "duel psychologique" entre Wade et Evans qui donne la trame du film. Certaines scènes sont crues et violentes, mais sans altérer le caractère du scénario.
Les effets spéciaux sont discrets et parfaitement exécutés et la bande-son est tellement discrète que je n'en ai rien retenu, c'est dire également si elle est parfaitement intégrée au film et à son atmosphère. Un petit bémol pour les paysages du Far-West dont on profite très peu, encore une fois pour renforcer le côté sombre et dramatique de l'histoire.
Excellent film à voir une seule fois, mais âmes sensibles s'abstenir car certaines scènes sont très violentes et crues, notamment celle où Wade tue l'un de ses geôliers à coups de fourchette dans la gorge.
Ben Wade est un gangster à la tête d'une troupe de cow-boys. Ils attaquent les dilligences de la compagnie de chemin de fer pour voler la paie des ouvriers. Aucun d'eux n'a de scrupule à tuer toute personne qui s'oppose à eux et même si c'est l'un d'entre eux.
Dan Evans est un fermier estropié lors de la guerre de sécession et qui est au bord de la ruine à cause de la sécheresse et d'un usurier. Les problèmes ont eu raison de l'amour de sa femme et du respect de ses fils.
Le jour où le chemin des deux hommes se croisent, Evans participe involontairement à l'arrestation de Wade et se retrouve bientôt à aider la petite troupe qui va convoyer le prisonnier vers le tribunal fédéral. Pour cela, ils doivent faire un voyage de plusieurs jours de cheval et embarquer sur le train à destination de Yuma, dans la petite ville de Contention. Mais les hommes de Wade sont sur leurs traces pour libérer leur chef.
Entre Wade qui inspire la peur et l'admiration et Evans qui voudrait bien regagner sa fierté et l'estime de son fils aîné, un véritable duel psychologique va débuter...
Remake de 3h10 pour Yuma de 1957 qui mettait en scène Glenn Ford dans le rôle de Wade, cette version de 2007 passe le flambeau à Russell Crowe qui campe un Ben Wade très convaincant. Sans scrupule ni sentiment, il utilise les gens quand il en a besoin et s'en débarrasse s'ils le gênent. L'acteur est impressionnant dans la façon dont il restitue le cynisme et la combattivité tout en apportant le côté respect que son personnage a envers l'intégrité et l'honnêteté. C'est un rôle très ambigu que Crowe joue là et d'excellente façon.
Dan Evans est incarné par l'étonnant Christian Bale, à des années-lumières de Batman. Il est à peine reconnaissable avec un visage et un corps meurtris, un regard éteint par la dureté de la vie, du moins au début du film, et la lassitude de voir la cruauté des hommes tels que Wade.
Au fur et à mesure du film, le personnage d'Evans gagne en intensité et en passion et Christian Bale joue à merveille la transition de la colère contenue à la franche détermination, de la résignation à la volonté farouche de gagner un combat, d'atteindre un but. Tout comme Crowe, Bale nous offre là un rôle exceptionnel et travaillé.
Dans un second rôle peu important, on notera l'apparition d'un Peter Fonda bien vieux et fatigué. Je l'avais trouvé mieux et plus crédible dans son rôle de Méphisto dans Ghostrider.
Bien qu'il s'agisse d'un western, 3h10 pour Yuma est beaucoup plus un un huis-clos et c'est surtout le "duel psychologique" entre Wade et Evans qui donne la trame du film. Certaines scènes sont crues et violentes, mais sans altérer le caractère du scénario.
Les effets spéciaux sont discrets et parfaitement exécutés et la bande-son est tellement discrète que je n'en ai rien retenu, c'est dire également si elle est parfaitement intégrée au film et à son atmosphère. Un petit bémol pour les paysages du Far-West dont on profite très peu, encore une fois pour renforcer le côté sombre et dramatique de l'histoire.
Excellent film à voir une seule fois, mais âmes sensibles s'abstenir car certaines scènes sont très violentes et crues, notamment celle où Wade tue l'un de ses geôliers à coups de fourchette dans la gorge.
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
J'ai profité hier soir du fait que la modote est toujours dans ses pour visionner enfin Appaloosa en DVD.
C'est tout de même autre chose de le voir sur un 47 pouces au lieu d'un 4 pouces
J'ai complété un peu ma critique, cliquez Ici pour y accéder.
Alors que Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé sort en salle le 15 juillet 2009, le premier volet des Reliques de la mort est annoncé "prochainement" et le second volet pour mai 2011.
A mon avis, mai 2011 sera plutôt la sortie du premier volet car je ne crois pas trop à sa sortie en 2010. Il faut compter avec le délai de sortie du DVD précédent.
La semaine prochaine sortent en salle Transformers 2 et Jeux de pouvoir avec Russel Crowe et Ben Affleck.
L'Age de Glace 3 sortira le 1er juillet
C'est tout de même autre chose de le voir sur un 47 pouces au lieu d'un 4 pouces
J'ai complété un peu ma critique, cliquez Ici pour y accéder.
Alors que Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé sort en salle le 15 juillet 2009, le premier volet des Reliques de la mort est annoncé "prochainement" et le second volet pour mai 2011.
A mon avis, mai 2011 sera plutôt la sortie du premier volet car je ne crois pas trop à sa sortie en 2010. Il faut compter avec le délai de sortie du DVD précédent.
La semaine prochaine sortent en salle Transformers 2 et Jeux de pouvoir avec Russel Crowe et Ben Affleck.
L'Age de Glace 3 sortira le 1er juillet
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Le prochain film de Roland Emmerich sortira le 11 novembre : 2012
Ça a l'air d'être du lours point de vue effets spéciaux, je sens que sur notre grand écran, ça va le faire
En tous les cas, la bande-annonce est alléchante :
http://movies.yahoo.com/movie/1810045661/video/14045555
Ça a l'air d'être du lours point de vue effets spéciaux, je sens que sur notre grand écran, ça va le faire
En tous les cas, la bande-annonce est alléchante :
http://movies.yahoo.com/movie/1810045661/video/14045555
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Rien que de voir la coupole de Saint-Pierre s'effondrer sur le pape et toutes les grenouilles qui sont avec lui, j'en ai l'eau à la bouche
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Jean-Fi a écrit:L'Age de Glace 3 sortira le 1er juillet
Le premier de l'année que nous irons voir au cinéma, autant pour le film que pour le super moment à passer en famille !
StfMarj- Résident
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Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
PiPhie a écrit:Le prochain film de Roland Emmerich sortira le 11 novembre : 2012
Ça a l'air d'être du lours point de vue effets spéciaux, je sens que sur notre grand écran, ça va le faire
En tous les cas, la bande-annonce est alléchante :
http://movies.yahoo.com/movie/1810045661/video/14045555
voir l'uss john kennedy chavirer
c'est la fin du monde ce film?
Invité- Invité
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
JB007 - Casino Royale
James Bond est un agent du service action au sein du MI6. Après ses deux premiers morts en service commandé, il vient d'obtenir contre l'avis de M son matricule double zéro, le célébrissime Permis de tuer.
Alors qu'il vient juste d'abattre devant des caméras de surveillance un poseur de bombe au sein même d'une ambassade africaine, M le met sur la touche pour essayer de sauver sa tête.
Mais Bond est sur les traces des commanditaires de l'attentat manqué et met ensuite fin au projet de faire sauter le plus gros avion du monde, attentat qui aurait permis à Le Chiffre, mystérieux terroriste, de réaliser une opération boursière très lucrative.
L'échec de cette opération à mis Le Chiffre dans une situation difficile car il a joué avec de l'argent qui ne lui appartenait pas. Pour se refaire, il organise au Monténégro une partie de poker qui doit lui rapporter au bas mot 150 millions de dollars. Ses chances de l'emporter sont grandes car il est un maître en la matière.
Pour mettre le grappin sur lui, le MI6 décide de lui opposer un adversaire capable de le battre et ainsi le ruiner. Les services secrets anglais espèrent ainsi lui offrir une protection en échange de tout ce qu'il sait sur le terrorisme international.
Hélas pour M, le seul bon joueur de poker capable de rivaliser avec Le Chiffre s'avère être justement 007. Pour surveiller le bouillant agent, M lui adjoint la ravissante Vesper Lynd, responsable du budget du service et chargée de gérer les 15 millions de dollars dont Bond aura besoin pour jouer le tournoi...
Historiquement parlant, ce film est censé être le tout premier 007 vu qu'il démarre l'histoire avec un Bond qui n'a pas encore son permis de tuer. Il inaugure également un nouvel acteur pour endosser le smoking du plus célèbre des agents secrets.
Pour se glisser dans la peau de 007, c'est Daniel Craig qui s'y colle. Déjà aperçu dans le premier opus des aventures de Lara Croft, Tomb Raider, l'anglais n'a absolument pas la tête d'un anglais et son rôle est brutal, tout à fait américain dans le plus pur style blockbuster comme Mission: Impossible.
Alors qu'un James Bond se réajuste négligemment après une bagarre, tout en désinvolture, le nouveau 007 se retrouve à chaque fois avec les vêtements en lambeaux, des plaies sanguinolantes un peu partout, trempé de sueur et crasseux.
L'argument des producteurs est que le nouveau Bond colle mieux à la réalité du monde, ce qui est tout à fait vrai. Mais ils ont oublié que les afficionados de 007, dont je suis, s'en cognent de la réalité. Ce qu'ils veulent, ce sont les gadgets de Q, les belles Aston-Martin, les jolies et sexuelles bondgirls, la désinvolture et l'humour son british de leur héros.
Que nenni ! A part la belle Aston-Martin DBS qu'il bousille sauvagement en 5 secondes et la jolie Eva Green en Bondgirl un peu plus travaillée que d'habitude, tout le reste est passé à la trappe. Exit Q et R et leurs gadgets, Miss Moneypenny et l'humour anglais. Les rares notes d'humour sont mal ficelés et grasses, Daniel Craig campe ainsi un personnage brutal et agressif, sans aucune manières ou presque. Il se permet même d'envoyer paître grossièrement un serveur qui lui demandait la façon de préparer son Martini Dry.
Le personnage de Q était clairement appelé à être remplacé suite au décès de l'acteur Desmond Llewelyn et son successeur R avait été présenté dans Le Monde ne suffit pas alors qu'il y était incarné par un John Cleese un peu con sur les bords (probablement ce qui a décidé la production à éliminer le personnage rapidement). C'est pour moi le plus gros point noir du film que cette disparition du complice bricoleur de Bond. Pour la petite histoire, Llewelyn aura incarné Q dans tous les Bond depuis Bons baisers de Russie jusqu'à Le Monde ne suffit pas et n'aura interprété au cours de sa carrière qu'une seule fois un autre personnage que celui du génial inventeur, son tout premier film en fait.
Point positif, le personnage de la Bondgirl a gagné en profondeur et en intensité. Eva Green campe une excellente Vesper Lynd, solide et fragile à la fois et très crédible. Après deux petits rôles dans Kingdom of Heaven et Arsène Lupin, c'est son premier rôle important, qui a été suivi immédiatement par un rôle secondaire dans A la croisée des mondes, La Boussole d'or.
Le personnage de M, incarné pour la cinquième fois par Judi Dench, gagne également en importance et en caractère. Pourtant, on relève là une incohérence chronologique vu qu'elle considérait Bond comme un dinosaure appelé à disparaître dans Goldeneye alors qu'ici, elle défend sa tête et fait tout pour le sauver et le comprendre.
Dans le rôle des méchants de service, on trouve tout d'abord Issac de Bankolé déjà aperçu dans Black Micmac et Miami Vice 2006 et enfin, Le Chiffre est interprété d'excellente façon par Mads Mikkelsen déjà entraperçu dans Le Roi Arthur. Son personnage est intéressant et tout en nuance de cruauté, de doute et de confiance en soi.
Du côté de la musique, gros changement également avec une bande-son agressive et tonitruante loin du lyrisme habituel des musiques des autres Bond. Je n'ai pas du tout aimé cette bande-son.
Les cascades et effets spéciaux sont sublimes, rien à redire, le film ne vous laisse aucun répit pendant le premier quart d'heure. Ca cogne, ça explose, on tire dans tous les coins et les acteurs ont payé de leur personne. Daniel Craig a d'ailleurs réalisé une grande partie des cascades avec quelques blessures à la clef.
Dernier point extrêmement choquant, Bond roule en Ford Mondéo dernier modèle avant de s'approprier une Aston-Martin 1964, petit clin d'oeil à Sean Connery, pour ensuite prendre possession de la DBS dont il fera de la charpie très rapidement.
Bref, j'ai beaucoup aimé ce film d'action, le scénario est solide, construit et les personnages sont globalement travaillés, mais Daniel Craig ne sera jamais à mes yeux un vrai James Bond.
Du côté des mauvaises nouvelles, il aurait signé pour un total de 5 Bond .
Il incarnera prochainement Rackam le Rouge dans l'adaptation de Tintin de Steven Spielberg.
James Bond est un agent du service action au sein du MI6. Après ses deux premiers morts en service commandé, il vient d'obtenir contre l'avis de M son matricule double zéro, le célébrissime Permis de tuer.
Alors qu'il vient juste d'abattre devant des caméras de surveillance un poseur de bombe au sein même d'une ambassade africaine, M le met sur la touche pour essayer de sauver sa tête.
Mais Bond est sur les traces des commanditaires de l'attentat manqué et met ensuite fin au projet de faire sauter le plus gros avion du monde, attentat qui aurait permis à Le Chiffre, mystérieux terroriste, de réaliser une opération boursière très lucrative.
L'échec de cette opération à mis Le Chiffre dans une situation difficile car il a joué avec de l'argent qui ne lui appartenait pas. Pour se refaire, il organise au Monténégro une partie de poker qui doit lui rapporter au bas mot 150 millions de dollars. Ses chances de l'emporter sont grandes car il est un maître en la matière.
Pour mettre le grappin sur lui, le MI6 décide de lui opposer un adversaire capable de le battre et ainsi le ruiner. Les services secrets anglais espèrent ainsi lui offrir une protection en échange de tout ce qu'il sait sur le terrorisme international.
Hélas pour M, le seul bon joueur de poker capable de rivaliser avec Le Chiffre s'avère être justement 007. Pour surveiller le bouillant agent, M lui adjoint la ravissante Vesper Lynd, responsable du budget du service et chargée de gérer les 15 millions de dollars dont Bond aura besoin pour jouer le tournoi...
Historiquement parlant, ce film est censé être le tout premier 007 vu qu'il démarre l'histoire avec un Bond qui n'a pas encore son permis de tuer. Il inaugure également un nouvel acteur pour endosser le smoking du plus célèbre des agents secrets.
Pour se glisser dans la peau de 007, c'est Daniel Craig qui s'y colle. Déjà aperçu dans le premier opus des aventures de Lara Croft, Tomb Raider, l'anglais n'a absolument pas la tête d'un anglais et son rôle est brutal, tout à fait américain dans le plus pur style blockbuster comme Mission: Impossible.
Alors qu'un James Bond se réajuste négligemment après une bagarre, tout en désinvolture, le nouveau 007 se retrouve à chaque fois avec les vêtements en lambeaux, des plaies sanguinolantes un peu partout, trempé de sueur et crasseux.
L'argument des producteurs est que le nouveau Bond colle mieux à la réalité du monde, ce qui est tout à fait vrai. Mais ils ont oublié que les afficionados de 007, dont je suis, s'en cognent de la réalité. Ce qu'ils veulent, ce sont les gadgets de Q, les belles Aston-Martin, les jolies et sexuelles bondgirls, la désinvolture et l'humour son british de leur héros.
Que nenni ! A part la belle Aston-Martin DBS qu'il bousille sauvagement en 5 secondes et la jolie Eva Green en Bondgirl un peu plus travaillée que d'habitude, tout le reste est passé à la trappe. Exit Q et R et leurs gadgets, Miss Moneypenny et l'humour anglais. Les rares notes d'humour sont mal ficelés et grasses, Daniel Craig campe ainsi un personnage brutal et agressif, sans aucune manières ou presque. Il se permet même d'envoyer paître grossièrement un serveur qui lui demandait la façon de préparer son Martini Dry.
Le personnage de Q était clairement appelé à être remplacé suite au décès de l'acteur Desmond Llewelyn et son successeur R avait été présenté dans Le Monde ne suffit pas alors qu'il y était incarné par un John Cleese un peu con sur les bords (probablement ce qui a décidé la production à éliminer le personnage rapidement). C'est pour moi le plus gros point noir du film que cette disparition du complice bricoleur de Bond. Pour la petite histoire, Llewelyn aura incarné Q dans tous les Bond depuis Bons baisers de Russie jusqu'à Le Monde ne suffit pas et n'aura interprété au cours de sa carrière qu'une seule fois un autre personnage que celui du génial inventeur, son tout premier film en fait.
Point positif, le personnage de la Bondgirl a gagné en profondeur et en intensité. Eva Green campe une excellente Vesper Lynd, solide et fragile à la fois et très crédible. Après deux petits rôles dans Kingdom of Heaven et Arsène Lupin, c'est son premier rôle important, qui a été suivi immédiatement par un rôle secondaire dans A la croisée des mondes, La Boussole d'or.
Le personnage de M, incarné pour la cinquième fois par Judi Dench, gagne également en importance et en caractère. Pourtant, on relève là une incohérence chronologique vu qu'elle considérait Bond comme un dinosaure appelé à disparaître dans Goldeneye alors qu'ici, elle défend sa tête et fait tout pour le sauver et le comprendre.
Dans le rôle des méchants de service, on trouve tout d'abord Issac de Bankolé déjà aperçu dans Black Micmac et Miami Vice 2006 et enfin, Le Chiffre est interprété d'excellente façon par Mads Mikkelsen déjà entraperçu dans Le Roi Arthur. Son personnage est intéressant et tout en nuance de cruauté, de doute et de confiance en soi.
Du côté de la musique, gros changement également avec une bande-son agressive et tonitruante loin du lyrisme habituel des musiques des autres Bond. Je n'ai pas du tout aimé cette bande-son.
Les cascades et effets spéciaux sont sublimes, rien à redire, le film ne vous laisse aucun répit pendant le premier quart d'heure. Ca cogne, ça explose, on tire dans tous les coins et les acteurs ont payé de leur personne. Daniel Craig a d'ailleurs réalisé une grande partie des cascades avec quelques blessures à la clef.
Dernier point extrêmement choquant, Bond roule en Ford Mondéo dernier modèle avant de s'approprier une Aston-Martin 1964, petit clin d'oeil à Sean Connery, pour ensuite prendre possession de la DBS dont il fera de la charpie très rapidement.
Bref, j'ai beaucoup aimé ce film d'action, le scénario est solide, construit et les personnages sont globalement travaillés, mais Daniel Craig ne sera jamais à mes yeux un vrai James Bond.
Du côté des mauvaises nouvelles, il aurait signé pour un total de 5 Bond .
Il incarnera prochainement Rackam le Rouge dans l'adaptation de Tintin de Steven Spielberg.
Dernière édition par Jean-Fi le Lun 29 Juin - 13:52, édité 1 fois
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
JB007 - Quantum of Solace
Suite de Casino Royale, on retrouve Daniel Craig dans le rôle de l'agent 007. Le résumé du film ayant déjà été écrit par Zep, voir ICI, je parlerai donc juste des acteurs et de la technique.
Comme dans Casino Royale, Daniel Craig campe un Bond violent, agressif et constamment débraillé. Les personnages de Q et son successeur R ne sont pas réapparus, je crains donc que nous n'ayions plus jamais droit aux délirants gadgets sophistiqués qui manquent cruellement aux deux opus de Craig.
Olga Kurylenko campe la bondgirl de service et sa prestation est assez terne avec un personnage peu étoffé et très banal. Nouveauté dans la saga des Bond, l'agent 007 ne se tape pas la bondgirl, encore un fil conducteur usuel qui passe à la trappe.
J'ai trouvé la jolie Olga nettement plus sympa et performante dans Hitman que dans Quantum of Solace où elle est vraiment la potiche de service.
Cette fois, le méchant de service est peu intéressant et sans aucune profondeur. Mathieu Amalric a le charisme d'une huître commune et sa filmographie pourtant relativement étoffée ne comporte qu'un seul film que je connaisse, sans toutefois l'avoir vu, c'est Munich de Steven Spielberg.
Sa restitution de Dominic Greene ne me donne pas du tout envie d'en voir plus.
Une nouvelle fois, Judi Dench reprend son rôle de M, bien dans la lignée de ses précédentes prestations et un peu plus étoffé comme dans Casino Royale. Tantôt acariâtre, tantôt maternelle avec Bond, on a à nouveau cette contradiction de caractère par rapport aux premiers Bond dans lesquels elle a officié.
Du côté des cascades et effets spéciaux, c'est tonitruant et explosif, le film ne laisse pas beaucoup le temps de souffler et on en vient à se demander si cette avalanche de scènes d'action n'est pas simplement là pour cacher l'indigence du personnage.
La poursuite introductive est dantesque et on voit la DBS un peu plus longtemps que dans l'opus précédent et on aura peu de temps après une scène de poursuite en bateau à moteur rappelant furieusement celle d'un autre Bond, mais impossible de me rappeler lequel.
Au secours Zep
Encore une fois, la musique est agressive, très en ligne avec le personnage joué par Craig.
Comme pour Casino Royale, je maintiens mon avis: ce sont deux bons films d'action mais aucunement des Bond.
Je crains fort que la saga des James Bond se soit définitivement arrêtée avec Meurs un autre jour.
Suite de Casino Royale, on retrouve Daniel Craig dans le rôle de l'agent 007. Le résumé du film ayant déjà été écrit par Zep, voir ICI, je parlerai donc juste des acteurs et de la technique.
Comme dans Casino Royale, Daniel Craig campe un Bond violent, agressif et constamment débraillé. Les personnages de Q et son successeur R ne sont pas réapparus, je crains donc que nous n'ayions plus jamais droit aux délirants gadgets sophistiqués qui manquent cruellement aux deux opus de Craig.
Olga Kurylenko campe la bondgirl de service et sa prestation est assez terne avec un personnage peu étoffé et très banal. Nouveauté dans la saga des Bond, l'agent 007 ne se tape pas la bondgirl, encore un fil conducteur usuel qui passe à la trappe.
J'ai trouvé la jolie Olga nettement plus sympa et performante dans Hitman que dans Quantum of Solace où elle est vraiment la potiche de service.
Cette fois, le méchant de service est peu intéressant et sans aucune profondeur. Mathieu Amalric a le charisme d'une huître commune et sa filmographie pourtant relativement étoffée ne comporte qu'un seul film que je connaisse, sans toutefois l'avoir vu, c'est Munich de Steven Spielberg.
Sa restitution de Dominic Greene ne me donne pas du tout envie d'en voir plus.
Une nouvelle fois, Judi Dench reprend son rôle de M, bien dans la lignée de ses précédentes prestations et un peu plus étoffé comme dans Casino Royale. Tantôt acariâtre, tantôt maternelle avec Bond, on a à nouveau cette contradiction de caractère par rapport aux premiers Bond dans lesquels elle a officié.
Du côté des cascades et effets spéciaux, c'est tonitruant et explosif, le film ne laisse pas beaucoup le temps de souffler et on en vient à se demander si cette avalanche de scènes d'action n'est pas simplement là pour cacher l'indigence du personnage.
La poursuite introductive est dantesque et on voit la DBS un peu plus longtemps que dans l'opus précédent et on aura peu de temps après une scène de poursuite en bateau à moteur rappelant furieusement celle d'un autre Bond, mais impossible de me rappeler lequel.
Au secours Zep
Encore une fois, la musique est agressive, très en ligne avec le personnage joué par Craig.
Comme pour Casino Royale, je maintiens mon avis: ce sont deux bons films d'action mais aucunement des Bond.
Je crains fort que la saga des James Bond se soit définitivement arrêtée avec Meurs un autre jour.
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Madagascar
Alex le lion, Marty le zèbre, Melman la girafe et Gloria l'hippopotame sont pensionnaires du zoo de New-York. Potes depuis des années, ils se retrouvent tous les soirs après la fermeture pour déconner ensemble.
Si Alex s'amuse énormément dans son rôle de superstar du zoo, Marty rêve de grands espaces et de liberté.
Melman, hypocondriaque forcené se joint bien sûr aux efforts d'Alex et Gloria pour le dissuader de mettre son projet à exécution, mais lorsque les pingouins s'évadent, Marty profite aussitôt de l'occasion et se retrouve bientôt dans la gare centrale de Big Apple. Accourus pour le récupérer, Alex et ses amis sont capturés et rapidement transférés vers un autre zoo.
Mais c'est compter sans l'opportunisme des pingouins qui se débarrassent de l'équipage et échouent bientôt le cargo sur la petite île de Madagascar.
Pour Alex et ses amis, il va falloir s'adapter à la vie sauvage et apprendre à trouver soi-même sa nourriture. Entre Alex le lion et Marty le zèbre, les instincts naturels vont rapidement poser quelques problèmes...
Film d'animation des studios Dreamworks, Madagascar est sorti peu de temps avant The Wild réalisé par les studios Disney. Les critiques sont unanimes à dire que le Disney est de loin supérieur et si c'est vrai, ce doit être un morceau d'anthologie.
En effet, Madagascar est tout à fait poilant. Les personnages sont drôles et attachants, l'histoire est sympa et les aventures des 4 héros sur l'île sont marrantes à souhait.
Les voix françaises d'Alex et Marty sont jouées dans l'ordre par José Garcia et Anthony Kavanagh.
La qualité de l'animation est très bonne avec pour seul bémol les traits très anguleux des animaux qui donnent un aspect très 2D à l'ensemble. La qualité et le rendu des décors est excellente et la bande-son tout à fait géniale, notamment la chanson I like to move it:
Alex le lion, Marty le zèbre, Melman la girafe et Gloria l'hippopotame sont pensionnaires du zoo de New-York. Potes depuis des années, ils se retrouvent tous les soirs après la fermeture pour déconner ensemble.
Si Alex s'amuse énormément dans son rôle de superstar du zoo, Marty rêve de grands espaces et de liberté.
Melman, hypocondriaque forcené se joint bien sûr aux efforts d'Alex et Gloria pour le dissuader de mettre son projet à exécution, mais lorsque les pingouins s'évadent, Marty profite aussitôt de l'occasion et se retrouve bientôt dans la gare centrale de Big Apple. Accourus pour le récupérer, Alex et ses amis sont capturés et rapidement transférés vers un autre zoo.
Mais c'est compter sans l'opportunisme des pingouins qui se débarrassent de l'équipage et échouent bientôt le cargo sur la petite île de Madagascar.
Pour Alex et ses amis, il va falloir s'adapter à la vie sauvage et apprendre à trouver soi-même sa nourriture. Entre Alex le lion et Marty le zèbre, les instincts naturels vont rapidement poser quelques problèmes...
Film d'animation des studios Dreamworks, Madagascar est sorti peu de temps avant The Wild réalisé par les studios Disney. Les critiques sont unanimes à dire que le Disney est de loin supérieur et si c'est vrai, ce doit être un morceau d'anthologie.
En effet, Madagascar est tout à fait poilant. Les personnages sont drôles et attachants, l'histoire est sympa et les aventures des 4 héros sur l'île sont marrantes à souhait.
Les voix françaises d'Alex et Marty sont jouées dans l'ordre par José Garcia et Anthony Kavanagh.
La qualité de l'animation est très bonne avec pour seul bémol les traits très anguleux des animaux qui donnent un aspect très 2D à l'ensemble. La qualité et le rendu des décors est excellente et la bande-son tout à fait géniale, notamment la chanson I like to move it:
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Madagascar 2
Depuis que Marty, Alex, Gloria et Melman sont coincés sur Madagascar, leur bonheur n'est pas complet et Alex rêve de retrouver New-York.
Grâce à la savante organisation des pingouins qui ont réussi à retaper l'épave d'un avion, ils parviennent enfin à quitter l'île et volent vers l'aventure lorsqu'un incident technique les fait atterrir en Afrique au pied du Kilimandjaro.
Les 4 amis sont par hasard revenus chez eux et Marty est aux anges de trouver un troupeau de zèbres parmi lesquels il va se faire un tas de copains.
Quant à Alex, c'est avec une immense émotion qu'il retrouve ses parents à qui il avait été enlevé des années plus tôt.
Mais bien vite, Alex va être victime de la jalousie d'un rival qui convoîte le trône de son père et il est bientôt banni de la tribu alors que son père est détrôné.
Aidé de ses amis, Alex va se battre pour reprendre sa place et prouver à sa tribu qu'il n'est pas qu'un lion de cirque new-yorkais...
On prend les mêmes et on recommence et, chose rare, la suite vaut largement l'original. La qualité de l'animation a encore évolué pour faire dans l'excellence et le rendu des paysages et surtout de l'eau est tout à fait exceptionnel, on croirait voir le décor d'un documentaire.
L'histoire est très classique, finalement très proche de celle du Roi Lion, mais on se marre de bout en bout. La bande-son est en grosse partie reprise du premier opus mais en plus techno. Un excellent résultat de Dreamworks pour passer une petite soirée de rire et de détente.
Depuis que Marty, Alex, Gloria et Melman sont coincés sur Madagascar, leur bonheur n'est pas complet et Alex rêve de retrouver New-York.
Grâce à la savante organisation des pingouins qui ont réussi à retaper l'épave d'un avion, ils parviennent enfin à quitter l'île et volent vers l'aventure lorsqu'un incident technique les fait atterrir en Afrique au pied du Kilimandjaro.
Les 4 amis sont par hasard revenus chez eux et Marty est aux anges de trouver un troupeau de zèbres parmi lesquels il va se faire un tas de copains.
Quant à Alex, c'est avec une immense émotion qu'il retrouve ses parents à qui il avait été enlevé des années plus tôt.
Mais bien vite, Alex va être victime de la jalousie d'un rival qui convoîte le trône de son père et il est bientôt banni de la tribu alors que son père est détrôné.
Aidé de ses amis, Alex va se battre pour reprendre sa place et prouver à sa tribu qu'il n'est pas qu'un lion de cirque new-yorkais...
On prend les mêmes et on recommence et, chose rare, la suite vaut largement l'original. La qualité de l'animation a encore évolué pour faire dans l'excellence et le rendu des paysages et surtout de l'eau est tout à fait exceptionnel, on croirait voir le décor d'un documentaire.
L'histoire est très classique, finalement très proche de celle du Roi Lion, mais on se marre de bout en bout. La bande-son est en grosse partie reprise du premier opus mais en plus techno. Un excellent résultat de Dreamworks pour passer une petite soirée de rire et de détente.
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
En 2010 sortira le prochain film de Michaël Night-Shyamalan et je dois dire que la bande-annonce est on ne peut plus alléchante
Cela s'intitulera Avatar, le dernier maître de l'air, c'est à découvrir en cliquant icitte
Cela s'intitulera Avatar, le dernier maître de l'air, c'est à découvrir en cliquant icitte
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Mr & Mrs Smith
John et Jane Smith sont mariés depuis quelques années et la routine s'est installée dans leur couple. Ils se parlent à peine et se contentent la plupart du temps de dîner ensemble en silence. Jane travaille dans l'informatique et doit régulièrement s'absenter de longues heures ou parfois plusieurs jours. John voyage aussi pas mal pour son boulot, ce qui fait que leurs relations sont devenues une façade auprès des voisins.
Mais en fait, Jane est une tueuse à gage qui vend ses services au plus offrant alors que John est un tueur pour une organisation secrète gouvernementale. Chacun ignore ce que fait réellement l'autre, jusqu'au jour où John et Jane se retrouve sur le même contrat.
Quand l'un et l'autre apprenne la double vie de l'autre, il n'y a plus que l'affrontement direct de possible et si John essaie encore de discuter et de mettre de la mesure dans ses méthodes, Jane utilise toutes ses capacités pour exécuter son mari. Entre les deux, l'affrontement tourne rapidement à la guerre de tranchée où tous les coups sont permis et leur superbe maison achetée et meublée ensemble ressemble rapidement à un tas de décombres fumant.
Pour les commanditaires des deux tueurs, le combat doit obligatoirement se solder par la défaite de l'autre camp. Qui de John ou de Jane aura le dessus ?
Comédie d'action, voici réunis à l'écran les époux Pitt: Brad et Angelina. On voit clairement que les deux sont ravis de tourner ensemble et de simuler le divorce le plus violent jamais vu, sorte de jeu auquel ils se livrent par opposition à un mariage qui semble tourner rond depuis de nombreuses années, chose suffisamment rare à Hollywood que pour le souligner.
Angelina Jolie est sexy comme jamais, dans le plus pur style de son interprétation de Lara Croft et Brad Pitt est toujours aussi élégant dans un rôle proche d'Ocean's 11, 12 et 13.
Dans les seconds rôles, vous reconnaîtrez peut-être deux jeunes femmes qui jouent les assistantes de Jane: Michelle Monaghan, déjà aperçue dans La Mort dans la peau aux côtés de Matt Damon et la jolie Jennifer Morrisson qui interprète le Docteur Allison Cameron aux côtés du Dr House et qui est également au casting du nouvel opus de la saga Star Trek.
Ce film est vraiment une pure comédie féroce qui dérive rapidement en film à baston, l'humour est très présent et les cascades et autres explosions donnent une énergie impeccable au film. Les effets spéciaux sont très bien intégrés sans exagération et on passe un très bon moment.
Je vous le recommande en DTS avec un bon système home-cinéma, c'est dantesque
Une suite avait été envisagée en 2008, mais sans concrétisation à ce jour.
John et Jane Smith sont mariés depuis quelques années et la routine s'est installée dans leur couple. Ils se parlent à peine et se contentent la plupart du temps de dîner ensemble en silence. Jane travaille dans l'informatique et doit régulièrement s'absenter de longues heures ou parfois plusieurs jours. John voyage aussi pas mal pour son boulot, ce qui fait que leurs relations sont devenues une façade auprès des voisins.
Mais en fait, Jane est une tueuse à gage qui vend ses services au plus offrant alors que John est un tueur pour une organisation secrète gouvernementale. Chacun ignore ce que fait réellement l'autre, jusqu'au jour où John et Jane se retrouve sur le même contrat.
Quand l'un et l'autre apprenne la double vie de l'autre, il n'y a plus que l'affrontement direct de possible et si John essaie encore de discuter et de mettre de la mesure dans ses méthodes, Jane utilise toutes ses capacités pour exécuter son mari. Entre les deux, l'affrontement tourne rapidement à la guerre de tranchée où tous les coups sont permis et leur superbe maison achetée et meublée ensemble ressemble rapidement à un tas de décombres fumant.
Pour les commanditaires des deux tueurs, le combat doit obligatoirement se solder par la défaite de l'autre camp. Qui de John ou de Jane aura le dessus ?
Comédie d'action, voici réunis à l'écran les époux Pitt: Brad et Angelina. On voit clairement que les deux sont ravis de tourner ensemble et de simuler le divorce le plus violent jamais vu, sorte de jeu auquel ils se livrent par opposition à un mariage qui semble tourner rond depuis de nombreuses années, chose suffisamment rare à Hollywood que pour le souligner.
Angelina Jolie est sexy comme jamais, dans le plus pur style de son interprétation de Lara Croft et Brad Pitt est toujours aussi élégant dans un rôle proche d'Ocean's 11, 12 et 13.
Dans les seconds rôles, vous reconnaîtrez peut-être deux jeunes femmes qui jouent les assistantes de Jane: Michelle Monaghan, déjà aperçue dans La Mort dans la peau aux côtés de Matt Damon et la jolie Jennifer Morrisson qui interprète le Docteur Allison Cameron aux côtés du Dr House et qui est également au casting du nouvel opus de la saga Star Trek.
Ce film est vraiment une pure comédie féroce qui dérive rapidement en film à baston, l'humour est très présent et les cascades et autres explosions donnent une énergie impeccable au film. Les effets spéciaux sont très bien intégrés sans exagération et on passe un très bon moment.
Je vous le recommande en DTS avec un bon système home-cinéma, c'est dantesque
Une suite avait été envisagée en 2008, mais sans concrétisation à ce jour.
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
L'Age de glace 3 est sorti en salle, les bandes-annonces me déjà font saliver
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18878046&cfilm=126112&hd=1.html
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18878046&cfilm=126112&hd=1.html
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Ils vont élever des 'tits T-Rex, qu'ils vont aussi appeler "p'tiiiiiitttttssss"
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Princesse malgré elle
A presque 16 ans, Mia Fermopolis est une jeune fille timide et maladroite, au physique désavantagé par de grosses lunettes et une épaisse chevelure rebelle. Elle vit à San Francisco avec sa mère, une artiste-peintre un peu fantasque, dans une ancienne caserne de pompiers lui permettant de s'isoler dans sa "tour" lors des moments difficiles de l'adolescence.
A l'école, Mia est la risée de ses camarades pour sa maladresse, et sa timidité maladive qui l'empêche de prendre la parole devant les autres élèves de sa classe. Elle n'a qu'une seule amie, Lily, une jeune fille délurée qui défend avec force toutes les causes qui passent à sa portée, et dont le frère Michaël ne trouve pas Mia si inintéressante. Mia, elle, n'a d'yeux que pour Josh Bryant, le bellâtre du lycée, toujours entouré des plus jolies filles, et dont Mia rêve qu'il la remarque un jour, même si elle se sent la plupart du temps plutôt transparente.
C'est alors que débarque dans la vie de Mia sa grand-mère paternelle, la très classe Clarisse Rinaldi, alors que Mia n'a plus entendu parler de sa famille paternelle depuis des années. Mia découvre alors qu'elle est une véritable princesse, unique héritière depuis le décès de son père, du trône de Génovie, un petit royaume perdu au coeur de l'Europe.
Mais Mia ne se sent pas prête à assumer un tel rôle et se rebelle contre sa mère et sa grand-mère qui lui ont longtemps caché ses origines. La reine Clarisse est bien décidée par contre à faire de Mia une vraie princesse. Il va falloir trouver un compromis, et Mia se résout à un premier apprentissage, qui passe d'abord par un sérieux relifting de l'adolescente, ce qui ne va pas sans causer de nouveaux problèmes au lycée.
Mais ce nouveau rôle de princesse est difficile à assumer, surtout lorsque les élèves du lycée apprennent le secret de Mia...
Distribué par Walt Disney Pictures, ce film sans prétention est à voir comme un joli conte qui vous rappellera votre enfance : qui n'a jamais rêvé qu'il était en fait un prince ou une princesse sans le savoir. Même si certaines situations sont un peu caricaturales, on se laisse prendre par l'histoire servie par l'humour très présent dans le film.
La princesse Mia est interprétée par Anne Hathaway, dont c'est un des premiers rôles, et qui campe à merveille l'adolescente gaffeuse et empruntée qui se transforme progressivement. Elle interprétera ensuite avec brio le rôle de l'assistante d'une Meryl Streep tyrannique et truculente dans Le diable s'habille en Prada. La reine Clarisse est interprétée par Julie Andrews, la célèbre Mary Poppins qui a également prêté sa voix à la Princesse Lilian, mère de Fiona dans Shrek. On retrouve dans un second rôle Hector Elizondo, qui après Pretty Woman et Just Married, se spécialise dans le rôle du mentor discret mais fin psychologue.
Un petit film sympa donc, pour passer un bon moment de détente
A presque 16 ans, Mia Fermopolis est une jeune fille timide et maladroite, au physique désavantagé par de grosses lunettes et une épaisse chevelure rebelle. Elle vit à San Francisco avec sa mère, une artiste-peintre un peu fantasque, dans une ancienne caserne de pompiers lui permettant de s'isoler dans sa "tour" lors des moments difficiles de l'adolescence.
A l'école, Mia est la risée de ses camarades pour sa maladresse, et sa timidité maladive qui l'empêche de prendre la parole devant les autres élèves de sa classe. Elle n'a qu'une seule amie, Lily, une jeune fille délurée qui défend avec force toutes les causes qui passent à sa portée, et dont le frère Michaël ne trouve pas Mia si inintéressante. Mia, elle, n'a d'yeux que pour Josh Bryant, le bellâtre du lycée, toujours entouré des plus jolies filles, et dont Mia rêve qu'il la remarque un jour, même si elle se sent la plupart du temps plutôt transparente.
C'est alors que débarque dans la vie de Mia sa grand-mère paternelle, la très classe Clarisse Rinaldi, alors que Mia n'a plus entendu parler de sa famille paternelle depuis des années. Mia découvre alors qu'elle est une véritable princesse, unique héritière depuis le décès de son père, du trône de Génovie, un petit royaume perdu au coeur de l'Europe.
Mais Mia ne se sent pas prête à assumer un tel rôle et se rebelle contre sa mère et sa grand-mère qui lui ont longtemps caché ses origines. La reine Clarisse est bien décidée par contre à faire de Mia une vraie princesse. Il va falloir trouver un compromis, et Mia se résout à un premier apprentissage, qui passe d'abord par un sérieux relifting de l'adolescente, ce qui ne va pas sans causer de nouveaux problèmes au lycée.
Mais ce nouveau rôle de princesse est difficile à assumer, surtout lorsque les élèves du lycée apprennent le secret de Mia...
Distribué par Walt Disney Pictures, ce film sans prétention est à voir comme un joli conte qui vous rappellera votre enfance : qui n'a jamais rêvé qu'il était en fait un prince ou une princesse sans le savoir. Même si certaines situations sont un peu caricaturales, on se laisse prendre par l'histoire servie par l'humour très présent dans le film.
La princesse Mia est interprétée par Anne Hathaway, dont c'est un des premiers rôles, et qui campe à merveille l'adolescente gaffeuse et empruntée qui se transforme progressivement. Elle interprétera ensuite avec brio le rôle de l'assistante d'une Meryl Streep tyrannique et truculente dans Le diable s'habille en Prada. La reine Clarisse est interprétée par Julie Andrews, la célèbre Mary Poppins qui a également prêté sa voix à la Princesse Lilian, mère de Fiona dans Shrek. On retrouve dans un second rôle Hector Elizondo, qui après Pretty Woman et Just Married, se spécialise dans le rôle du mentor discret mais fin psychologue.
Un petit film sympa donc, pour passer un bon moment de détente
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Un mariage de princesse
Cinq ans plus tard, on retrouve Mia Fermopolis fraîchement diplômée de Princeton. Bien préparée cette fois à assumer son rôle de princesse, elle retourne en Génovie où elle apprend qu'on n'attend plus seulement d'elle qu'elle soit une princesse digne de ce nom, mais une future reine. En effet, la reine Clarisse souhaite abdiquer en faveur de sa petite-fille qui va fêter ses 21 ans, l'âge minimum requis pour un couronnement.
Dans ce nouveau rôle, Mia est évidemment très courtisée, et de nombreux princes et nobles invités au bal donné en l'honneur de ses 21 ans aimeraient être l'heureux élu de son coeur. Mais comme toute jeune femme de son âge, Mia rêve encore du grand amour.
C'est alors qu'un grain de sable vient perturber les projets de Clarisse et Mia : un autre prétendant au trône veut faire valoir ses droits à la couronne, le jeune Lord Nicholas Devereaux, poussé en cela par son oncle, le vicomte Mabrey aux ambitions démesurées.
Afin d'arriver à leurs fins, ceux-ci font ressortir une vieille loi du royaume de Génovie, stipulant qu'une future reine doit obligatoirement être mariée avant son couronnement. Il reste donc un mois à Mia afin de trouver l'heureux élu...
Cette suite à Princesse malgré elle reste parfaitement dans la lignée du premier opus, en offrant une histoire simple et romantique, ponctuée de nombreux moments d'humour. On retrouve l'équipe du premier film avec Anne Hathaway dans le rôle principal, Julie Andrews et Hector Elizondo. Le vicomte Mabrey est interprété par le truculent John Rhys-Davies (Gimli dans Lord of the Rings), et les plus observateurs reconnaîtront, parmi les enfants d'un orphelinat visité par la princesse Mia, une petite frimousse qui leur semblera peut-être familière : il s'agit de la petite Abigail Breslin qui révèlera ensuite son talent d'enfant-star dans Le goût de la vie et L'île de Nim.
Cinq ans plus tard, on retrouve Mia Fermopolis fraîchement diplômée de Princeton. Bien préparée cette fois à assumer son rôle de princesse, elle retourne en Génovie où elle apprend qu'on n'attend plus seulement d'elle qu'elle soit une princesse digne de ce nom, mais une future reine. En effet, la reine Clarisse souhaite abdiquer en faveur de sa petite-fille qui va fêter ses 21 ans, l'âge minimum requis pour un couronnement.
Dans ce nouveau rôle, Mia est évidemment très courtisée, et de nombreux princes et nobles invités au bal donné en l'honneur de ses 21 ans aimeraient être l'heureux élu de son coeur. Mais comme toute jeune femme de son âge, Mia rêve encore du grand amour.
C'est alors qu'un grain de sable vient perturber les projets de Clarisse et Mia : un autre prétendant au trône veut faire valoir ses droits à la couronne, le jeune Lord Nicholas Devereaux, poussé en cela par son oncle, le vicomte Mabrey aux ambitions démesurées.
Afin d'arriver à leurs fins, ceux-ci font ressortir une vieille loi du royaume de Génovie, stipulant qu'une future reine doit obligatoirement être mariée avant son couronnement. Il reste donc un mois à Mia afin de trouver l'heureux élu...
Cette suite à Princesse malgré elle reste parfaitement dans la lignée du premier opus, en offrant une histoire simple et romantique, ponctuée de nombreux moments d'humour. On retrouve l'équipe du premier film avec Anne Hathaway dans le rôle principal, Julie Andrews et Hector Elizondo. Le vicomte Mabrey est interprété par le truculent John Rhys-Davies (Gimli dans Lord of the Rings), et les plus observateurs reconnaîtront, parmi les enfants d'un orphelinat visité par la princesse Mia, une petite frimousse qui leur semblera peut-être familière : il s'agit de la petite Abigail Breslin qui révèlera ensuite son talent d'enfant-star dans Le goût de la vie et L'île de Nim.
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
The Wild
Au coeur du zoo de New-York, les animaux profitent de la fermeture du jardin pour faire la fiesta. Seul le jeune Ryan, fils de Samson le lion, ne participe pas à la fête. Désespéré de ne pouvoir rugir comme son père, il est la risée du parc et rumine de sombres pensées en déambulant dans le fond du parc. Sa curiosité l'emmène ainsi dans un immense container où il finit par s'endormir.
Hélas pour lui, ce container est embarqué à destination du port de New-York pour y être chargé sur un cargo en partance pour l'Afrique. Samson et ses amis Benny l'écureuil débrouillard, Larry l'anaconda un peu idiot, Brigitte la girafe et Nigel le koala, se lancent à la poursuite du camion en plein New-York.
Mais peine perdue, le cargo quitte le port devant leurs yeux avec son chargement. S'embarquant sur un remorqueur, les amis se lancent à la poursuite du navire, guidés par une escadrille d'oies sauvages recrutées par le malicieux Benny...
Alléchés, nous avons donc visionné The Wild et je dois regretter une fois de plus que les critiques ne sont pas du tout justifiées. Techniquement, le film est beau, les animaux plus réalistes que dans Madagascar et les animations plus fluides, mais le scénario est quasi un copié-collé de son prédécesseur sans en atteindre le niveau humoristique. On sent le plagiat vite réalisé pour contrer la concurrence. Les réalisateurs y ont ajouté une touche de l'histoire du Roi Lion, mais le petit Ryan n'a rien de drôle comme le jeune Simba de son illustre ancêtre. On ne rit pas du tout tant tout semble tomber à plat, on retrouve les gags plagiés de Madagascar sans que cela fasse sourire vu qu'on vient de les voir en mieux. Graphiquement, le rendu de l'eau est mou et cela donne une impression de gélatine, très en deçà de Madagascar. Les personnages sont ternes, sans épaisseur et la bande-son est nullissime, à cent lieues du concurrent de Dreamworks.
Au casting des voix, Didier Gustin s'est chargé du personnage de Nigel. Pas grand intérêt ni qualité.
Grosse déception qui ne fait que renforcer, s'il le fallait encore, mon avis sur les critiques cinématographiques.
Au coeur du zoo de New-York, les animaux profitent de la fermeture du jardin pour faire la fiesta. Seul le jeune Ryan, fils de Samson le lion, ne participe pas à la fête. Désespéré de ne pouvoir rugir comme son père, il est la risée du parc et rumine de sombres pensées en déambulant dans le fond du parc. Sa curiosité l'emmène ainsi dans un immense container où il finit par s'endormir.
Hélas pour lui, ce container est embarqué à destination du port de New-York pour y être chargé sur un cargo en partance pour l'Afrique. Samson et ses amis Benny l'écureuil débrouillard, Larry l'anaconda un peu idiot, Brigitte la girafe et Nigel le koala, se lancent à la poursuite du camion en plein New-York.
Mais peine perdue, le cargo quitte le port devant leurs yeux avec son chargement. S'embarquant sur un remorqueur, les amis se lancent à la poursuite du navire, guidés par une escadrille d'oies sauvages recrutées par le malicieux Benny...
A propos de Madagascar et The Wild, Jean-Fi a écrit:
Film d'animation des studios Dreamworks, Madagascar est sorti peu de temps avant The Wild réalisé par les studios Disney. Les critiques sont unanimes à dire que le Disney est de loin supérieur et si c'est vrai, ce doit être un morceau d'anthologie.
Alléchés, nous avons donc visionné The Wild et je dois regretter une fois de plus que les critiques ne sont pas du tout justifiées. Techniquement, le film est beau, les animaux plus réalistes que dans Madagascar et les animations plus fluides, mais le scénario est quasi un copié-collé de son prédécesseur sans en atteindre le niveau humoristique. On sent le plagiat vite réalisé pour contrer la concurrence. Les réalisateurs y ont ajouté une touche de l'histoire du Roi Lion, mais le petit Ryan n'a rien de drôle comme le jeune Simba de son illustre ancêtre. On ne rit pas du tout tant tout semble tomber à plat, on retrouve les gags plagiés de Madagascar sans que cela fasse sourire vu qu'on vient de les voir en mieux. Graphiquement, le rendu de l'eau est mou et cela donne une impression de gélatine, très en deçà de Madagascar. Les personnages sont ternes, sans épaisseur et la bande-son est nullissime, à cent lieues du concurrent de Dreamworks.
Au casting des voix, Didier Gustin s'est chargé du personnage de Nigel. Pas grand intérêt ni qualité.
Grosse déception qui ne fait que renforcer, s'il le fallait encore, mon avis sur les critiques cinématographiques.
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Au revoir à jamais
Samantha Caine est une jeune institutrice dans un petit village paisible des Etats-Unis. Elle vit avec un charmant compagnon et sa petite fille Caitlin, âgée de 8 ans. Samantha a une particularité; elle n'a pas de souvenirs de plus de 8 ans suite à un accident mystérieux qui l'a laissée amnésique et enceinte.
Depuis des années, elle paie des détectives de plus en plus mauvais pour essayer de retrouver son passé, mais sans succès.
Pourtant, un tueur se présente un jour à sa porte et essaie vainement de la liquider. Contre toute attente, la jeune femme fait plus que se défendre et se débarrasse du fou furieux comme une véritable pro. Avec l'aide du dernier détective qu'elle a engagé, Samantha découvre bientôt qu'elle était en fait un agent secret surentraîné du gouvernement et qu'elle oeuvrait sous le nom de Charlene Baltimore. Son retour inopiné alors que tout le monde la croyait morte ne semble pas enchanter ses anciens patrons qui décident de la liquider définitivement.
Avec une meute de tueurs lancés à ses trousses, "Charlie" et Mitch Hennessey essaient d'en savoir plus tout en restant en vie...
Film d'action à petit budget datant de 1996, voici une aventure sympa avec un sujet bien traité et des personnages attachants. Il y a de l'humour, de la castagne, des explosions et un scénario complet. Je l'ai déjà visionné au moins 3 fois.
Geena Davis campe une Charlie Baltimore un peu déjantée après avoir interprété en début de film une Samantha très propre sur elle en bonne mère de famille. Le contraste de ce double rôle lui sied bien et elle se débrouille plutôt pas mal pour cette histoire très physique. Ce rôle est du même acabit que celui qu'elle interprétait des L'Île aux pirates. Son personnage de Samantha se rapproche pas mal de la mère de Stuart Little.
A ses côtés, on retrouve Samuel L. Jackson en détective un peu escroc, pas très futé ni courageux qui va finir par devenir un héros à part entière dans l'histoire.
Dans les seconds rôles, vous reconnaîtrez peut-être Brian Cox qui campait un personnage similaire dans la saga des Jason Bourne aux côtés de Matt Damon.
Autre visage connu: David Morse. Sa tête vous dira forcément quelque chose; c'est en effet lui qui incarnait dans la saison 3 le flic redoutable auquel le Dr House a dû faire face pendant quelques épisodes et qui cherchait par tous les moyens à le faire suspendre de l'ordre des médecins. David Morse est également apparu dans La Ligne verte, Contact et 16 blocs, toujours dans des seconds rôles de salopard.
Samantha Caine est une jeune institutrice dans un petit village paisible des Etats-Unis. Elle vit avec un charmant compagnon et sa petite fille Caitlin, âgée de 8 ans. Samantha a une particularité; elle n'a pas de souvenirs de plus de 8 ans suite à un accident mystérieux qui l'a laissée amnésique et enceinte.
Depuis des années, elle paie des détectives de plus en plus mauvais pour essayer de retrouver son passé, mais sans succès.
Pourtant, un tueur se présente un jour à sa porte et essaie vainement de la liquider. Contre toute attente, la jeune femme fait plus que se défendre et se débarrasse du fou furieux comme une véritable pro. Avec l'aide du dernier détective qu'elle a engagé, Samantha découvre bientôt qu'elle était en fait un agent secret surentraîné du gouvernement et qu'elle oeuvrait sous le nom de Charlene Baltimore. Son retour inopiné alors que tout le monde la croyait morte ne semble pas enchanter ses anciens patrons qui décident de la liquider définitivement.
Avec une meute de tueurs lancés à ses trousses, "Charlie" et Mitch Hennessey essaient d'en savoir plus tout en restant en vie...
Film d'action à petit budget datant de 1996, voici une aventure sympa avec un sujet bien traité et des personnages attachants. Il y a de l'humour, de la castagne, des explosions et un scénario complet. Je l'ai déjà visionné au moins 3 fois.
Geena Davis campe une Charlie Baltimore un peu déjantée après avoir interprété en début de film une Samantha très propre sur elle en bonne mère de famille. Le contraste de ce double rôle lui sied bien et elle se débrouille plutôt pas mal pour cette histoire très physique. Ce rôle est du même acabit que celui qu'elle interprétait des L'Île aux pirates. Son personnage de Samantha se rapproche pas mal de la mère de Stuart Little.
A ses côtés, on retrouve Samuel L. Jackson en détective un peu escroc, pas très futé ni courageux qui va finir par devenir un héros à part entière dans l'histoire.
Dans les seconds rôles, vous reconnaîtrez peut-être Brian Cox qui campait un personnage similaire dans la saga des Jason Bourne aux côtés de Matt Damon.
Autre visage connu: David Morse. Sa tête vous dira forcément quelque chose; c'est en effet lui qui incarnait dans la saison 3 le flic redoutable auquel le Dr House a dû faire face pendant quelques épisodes et qui cherchait par tous les moyens à le faire suspendre de l'ordre des médecins. David Morse est également apparu dans La Ligne verte, Contact et 16 blocs, toujours dans des seconds rôles de salopard.
Re: Critiques de films, cinéma, DVD...
Le Prestige
Londres, dans les années 1900. Alfred Borden et Robert Angier sont deux jeunes illusionnistes très prometteurs qui sont en compétition permanente et amicale, chacun rivalisant d'ingéniosité pour faire mieux que l'autre. Mais lorsque la compagne de Robert meurt en public lors d'un tour qui tourne au drame, la rivalité tourne en compétition acharnée et Robert commence à vouer à Alfred une haine sans borne.
Devenus ennemis jurés, chacun va essayer de détruire la renommée de l'autre en poussant de plus en plus loin la félonie, ce qui n'ira pas sans conséquences pour leur entourage respectif.
Si Alfred est le plus doué des deux, Robert est sans conteste celui qui a le don de se mettre en valeur et en scène là où Alfred, trop "technique" n'attire qu'un public averti et connaisseur. De son côté, Robert met tout en oeuvre pour percer les secrets d'Alfred et mettre sur pied à chaque fois le même tour avec plus de panache et de mise en scène.
Lorsqu'Alfred met sur pied un numéro incroyable dans lequel il se transporte d'une porte à l'autre devant le public, Robert sombre dans l'obsession la plus folle pour découvrir le truc. Le drame couve rapidement...
Film au casting impressionnant, le Prestige se laisse regarder agréablement, mais on ressent cruellement un manque de caractère des personnages qui restent très froids, sans âme ni émotion. Christian Bale (le nouveau Batman) campe un Borden obnubilé par la perfection et prêt à tout sacrifier pour le bon tour alors que Hugh Jackman (Volverine dans les X-Men) interprète un Robert Angier sans aucun scrupule et complètement obsédé par la destruction de son rival.
Michaël Caine (Alfred le Majordome de Batman) interprète l'assistant vieillissant d'Angier, personnage sans grande épaisseur et la jolie Scarlett Johansson (Deux soeurs pour un roi et The Island) vient ajouter la note sexy et discrète dans laquelle le rôle l'a cantonnée. Au passage, elle sera à l'affiche du second opus d'Iron Man dans le rôle de la Veuve Noire.
Pour les petits futés, un sérieux coup d'oeil exercé vous permettra peut-être de reconnaître l'étonnant et méconnaissable David Bowie dans un rôle important du film. Cherchez bien
Pour les plus physionomistes, vous pourrez également retrouver Andy Serkis (Sméagol/Gollum dans Le Seigneur des Anneaux) dans un petit rôle peu étoffé.
L'intérêt essentiel du film est de nous dévoiler une petite part des secrets de la prestidigitation du siècle passé et toute l'ingénierie qui tournait déjà autour. Pour le reste, la réalisation est assez plate, les personnages bien ternes et le résultat final plutôt moyen, à voir une fois simplement.
Je suis curieux de voir son concurrent sorti à peu près au même moment: l'Illusionniste.
Pour la petite info, le titre Le Prestige vient de la conception même d'un bon tour d'illusionnisme qui comprend trois phases:
- la promesse qui montre des objets banals qui vont connaître un destin original
- le tour qui consiste à l'exécution de la manoeuvre, souvent une disparition
- le prestige, la phase la plus importante, à savoir la réapparition qui se doit d'être la plus spectaculaire possible.
Londres, dans les années 1900. Alfred Borden et Robert Angier sont deux jeunes illusionnistes très prometteurs qui sont en compétition permanente et amicale, chacun rivalisant d'ingéniosité pour faire mieux que l'autre. Mais lorsque la compagne de Robert meurt en public lors d'un tour qui tourne au drame, la rivalité tourne en compétition acharnée et Robert commence à vouer à Alfred une haine sans borne.
Devenus ennemis jurés, chacun va essayer de détruire la renommée de l'autre en poussant de plus en plus loin la félonie, ce qui n'ira pas sans conséquences pour leur entourage respectif.
Si Alfred est le plus doué des deux, Robert est sans conteste celui qui a le don de se mettre en valeur et en scène là où Alfred, trop "technique" n'attire qu'un public averti et connaisseur. De son côté, Robert met tout en oeuvre pour percer les secrets d'Alfred et mettre sur pied à chaque fois le même tour avec plus de panache et de mise en scène.
Lorsqu'Alfred met sur pied un numéro incroyable dans lequel il se transporte d'une porte à l'autre devant le public, Robert sombre dans l'obsession la plus folle pour découvrir le truc. Le drame couve rapidement...
Film au casting impressionnant, le Prestige se laisse regarder agréablement, mais on ressent cruellement un manque de caractère des personnages qui restent très froids, sans âme ni émotion. Christian Bale (le nouveau Batman) campe un Borden obnubilé par la perfection et prêt à tout sacrifier pour le bon tour alors que Hugh Jackman (Volverine dans les X-Men) interprète un Robert Angier sans aucun scrupule et complètement obsédé par la destruction de son rival.
Michaël Caine (Alfred le Majordome de Batman) interprète l'assistant vieillissant d'Angier, personnage sans grande épaisseur et la jolie Scarlett Johansson (Deux soeurs pour un roi et The Island) vient ajouter la note sexy et discrète dans laquelle le rôle l'a cantonnée. Au passage, elle sera à l'affiche du second opus d'Iron Man dans le rôle de la Veuve Noire.
Pour les petits futés, un sérieux coup d'oeil exercé vous permettra peut-être de reconnaître l'étonnant et méconnaissable David Bowie dans un rôle important du film. Cherchez bien
Pour les plus physionomistes, vous pourrez également retrouver Andy Serkis (Sméagol/Gollum dans Le Seigneur des Anneaux) dans un petit rôle peu étoffé.
L'intérêt essentiel du film est de nous dévoiler une petite part des secrets de la prestidigitation du siècle passé et toute l'ingénierie qui tournait déjà autour. Pour le reste, la réalisation est assez plate, les personnages bien ternes et le résultat final plutôt moyen, à voir une fois simplement.
Je suis curieux de voir son concurrent sorti à peu près au même moment: l'Illusionniste.
Pour la petite info, le titre Le Prestige vient de la conception même d'un bon tour d'illusionnisme qui comprend trois phases:
- la promesse qui montre des objets banals qui vont connaître un destin original
- le tour qui consiste à l'exécution de la manoeuvre, souvent une disparition
- le prestige, la phase la plus importante, à savoir la réapparition qui se doit d'être la plus spectaculaire possible.
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