Critiques de films, cinéma, DVD...

\o/ Kaamelott \o/

Dans l'humour, ce qui m'a fait vraiment pisser de rire, c'est "Dumb et Dumber" !
Oui, vous avez un aperçu de la finesse de mon style d'humour !

Yan a écrit:Dans l'humour, ce qui m'a fait vraiment pisser de rire, c'est "Dumb et Dumber" !
Oui, vous avez un aperçu de la finesse de mon style d'humour !

Y'a comme qui dirait incompatibilité là

La bande-annonce d'Avatar 2 est maintenant disponible

Pour la voir : http://www.koreus.com/video/bande-annonce-avatar-2.html



























Je vous ai bien eus hein ... Mékisoncons

Le nouveau film produit par Alain Chabat s'intitule "Bébés", et raconte la vie de 4 bébés, du jour de leur naissance à leurs premiers pas. L'intérêt du film, si c'est bien traité, consiste à suivre ces 4 bébés dans 4 pays très différents au niveau des habitudes et coutumes : la Namibie, la Mongolie, le Japon et les Etats-Unis, montrant que dès le départ, ces petits bouts ont accès à des univers parfois presque à l'opposé l'un de l'autre, même si l'amour des parents est le même partout.
J'ai surtout à vrai dire pensé à Gana en voyant ce sujet



Pour en savoir plus : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=111720.html

Invictus

1990: Nelson Mandela quitte la prison qui l'a retenu pendant 27 années.
1994: Lors des premières élections accessibles aux noirs, il est élu président de la république d'Afrique du Sud avec une écrasante majorité.

Alors qu'il s'installe au palais présidentiel, le nouveau dirigeant du pays montre d'entrée le nouveau concept qui va régir le pays: la couleur de peau n'a pas d'importance, les compétences des gens importent le plus même si elles étaient dans l'autre camp la semaine dernière, le pardon permet d'avancer...
Passionné de rugby, Madiba, comme son peuple l'appelle, assiste avec consternation à la cuisante défaite de l'équipe nationale des Springboks face à l'Angleterre. Encouragée uniquement par les blancs, l'équipe représente pour les noirs le symbole le plus visible de l'apartheid qui vient juste d'être supprimé. Alors que tout le monde voit dans cet échec la meilleure occasion de démanteler ce symbole, le président y voit l'occasion inespérée d'unifier tout un peuple autour de lui et du maillot vert et or.

Lors d'un entretien avec François Pienaar, le capitaine des Springboks, Mandela convainct le jeune homme de pousser l'entraînement de l'équipe en vue de la coupe du monde qui se déroulera dans moins d'un an sur le sol sud-africain.
Gagner cette coupe est le rêve du président, l'espoir impossible d'une équipe et le dédain du peuple.

Réalisé par Clint Eastwood, ce film retrace les débuts de Mandela comme président en se basant sur des faits réels. Encore une fois, le grand Clint nous montre là l'étendue de son savoir-faire en nous livrant une oeuvre poignante, prenante et profondément humaine. A aucun moment, il ne sombre dans la violence raciale et les clichés racistes, tout à son affaire pour montrer le charisme et le leadership que Mandela a offert au peuple sud-africain. L'antagonisme racial qui sépare les blancs des noirs est montré simplement sans effets de manches ni violence.

Dans le rôle de Mandela, Morgan Freeman est hallucinant de réalisme et de crédibilité. Aucune question ni doute, on est devant le vrai prix Nobel. Freeman a donné à ce rôle toute la noblesse et la grandeur d'âme du leader africain.
Face à lui, Matt Damon interprète François Pienaar, capitaine des Springboks, de façon très convaincante et attachante. Le personnage en proie aux doutes qui se met à croire en ce président noir qu'il a été éduqué à détester est magnifiquement rendu. Au vu de la musculature que Damon arbore ici, on conçoit que son entraînement a été poussé et qu'il a payé de sa personne.
Dans le rôle du jeune buteur de l'équipe, vous aurez peut-être l'impression de reconnaître des traits connus: il s'agit en effet de Scott Eastwood, l'un des fils de Clint. Sacrée famille vu que Kyle, autre fils du célèbre maire de Carmel s'est occupé de la musique.
La musique de ce film est chaleureuse et tendre avec des moments lyriques et d'autres plus populaires, rendant ainsi une atmosphère douce et reposante à l'histoire contée.
Après Million Dollar Baby et Gran Torino, Clint enchaîne les grandes oeuvres avec une facilité déconcertante, prouvant encore s'il en était besoin qu'il est bien l'un des plus grands du cinéma américain.

Oui PiPhie, faut que je le vois (quand je pourrais le choper car j'peux pas aller au ciné dans mon état !) ! Les extraits sur la Namibie me laissent rêveuse ! Tellement instinctif, des échanges si purs et naturels !! Je vis pas dans le même cadre mais je me retrouve grandement dans cette façon d'élever les mômes !!

J'vais chialer en le voyant ce film !!

Gana a écrit:J'vais chialer en le voyant ce film !!

Oui oui, je me doute bien

Pas pour moi ça

Moi ça me parle car y a pas de narration. La construction, le choix des scènes de vie, l'opposition des différents styles et modes de vie, ça peut être une grande réussite et bien plus difficile à réaliser que beaucoup de films qui ne véhiculent rien. Moi aimer ça !!

Je préfère les films de voitures et d'avions pour véhiculer un message

On ne peut rien contre le manque de poésie des hommes

Pfff, les femmes, ça n'arrêtent pas de poéter plus haut que leur trou d'cul

C'est d'un délicat...

Bon, pour résumer, les plus grands artistes, génies ....& co....
Il me semble qu'ils sont du sexe masculin......

Jean-Fi a écrit:Pfff, les femmes, ça n'arrêtent pas de poéter plus haut que leur trou d'cul

T'es vraiment un grand pouêt !!

singlemalt a écrit:Bon, pour résumer, les plus grands artistes, génies ....& co....
Il me semble qu'ils sont du sexe masculin......

On dit d'ailleurs UN génie

Ah non c'est pas une histoire de poésie du tout, c'est une histoire de capacité à ressentir viscéralement les choses. Mais pour ça, faut un minimum de frictions neuronales et de stimulation cérébrale. Quand on sait où se trouve le cerveau de l'homme je peux juste dire que le frottement du prépuce sur le gland ne permet pas d'accéder à cet univers-là

Gana a écrit:Ah non c'est pas une histoire de poésie du tout, c'est une histoire de capacité à ressentir viscéralement les choses. Mais pour ça, faut un minimum de frictions neuronales et de stimulation cérébrale. Quand on sait où se trouve le cerveau de l'homme je peux juste dire que le frottement du prépuce sur le gland ne permet pas d'accéder à cet univers-là

Même mal situé, l'homme en a un au moins

Faudra un jour qu'on pense à vous expliquer la différence entre un neurone avec ses multiples connexions, et ces petites bêtes à une seule flagelle dont vous faites tant de cas

C'est vous qui ne faites qu'en parler et baver après. Nous, on parle whisky, F1, tennis, foot pour certains, ...

De toute façon, face aux femmes, par définition dépourvues de toute matière cérébrale, pourquoi faudrait-il plus d'une cellule ?

Jean-Fi a écrit:

Gana a écrit:Ah non c'est pas une histoire de poésie du tout, c'est une histoire de capacité à ressentir viscéralement les choses. Mais pour ça, faut un minimum de frictions neuronales et de stimulation cérébrale. Quand on sait où se trouve le cerveau de l'homme je peux juste dire que le frottement du prépuce sur le gland ne permet pas d'accéder à cet univers-là

Même mal situé, l'homme en a un au moins

Exact, c'est d'ailleurs une zone qui a besoin d'être lubrifiée régulièrement pour que l'efficacité soit optimale....