Critiques de films, cinéma, DVD...

Oui c'est un film qui fait passer un très bon moment... on peut juste regretter l'aspect un peu édulcoré dû à une production Disney je trouve, alors que l'histoire avait du potentiel pour quelque chose de plus fouillé

PiPhie a écrit:Oui c'est un film qui fait passer un très bon moment... on peut juste regretter l'aspect un peu édulcoré dû à une production Disney je trouve, alors que l'histoire avait du potentiel pour quelque chose de plus fouillé

Ouais... bof.... ça manque de sang, de membres arrachés et de tripes qui volent... ! C'est du Disney quoi !

L'Agence tous risques

Le Colonel Hannibal Smith est à la tête de la meilleure unité spéciale de l'armée américaine. Lorsque des plaques permettant d'imprimer des faux dollars se retrouvent en pleine nature et accompagnées de milliards de faux dollars, il est chargé officieusement par son patron de récupérer discrètement le coup avant que la CIA ne s'en mêle avec ses gros sabots.
La mission est rapidement menée à bien par Smith et son équipe, mais la CIA s'empare du tout et assassine le Général en faisant porter le chapeau à toute l'équipe qui se retrouve sous les barreaux.

Désormais démis de leurs grades, Smith, Barracuda, Peck et Murdock s'évadent pour tenter de récupérer le magot et obtenir les preuves nécessaires pour établir leur innocence. Mais l'ancienne maîtresse de Peck, la sulfureuse Charissa Sosa mène l'enquête du FBI pour retrouver les fuyards.
Les amis vont devoir faire preuve d'imagination et disposer d'un bon plan de bataille, un plan sans accroc quoi...

Après la série qui a baigné ma jeunesse, je suis assez ravi de retrouver l'Agence Tous risques. Castagne, courses de voitures et bonnes bagarres sont évidemment de la partie.
Dans le rôle d'Hannibal Smith, on retrouve Liam Neeson qui entre facilement dans la peau de son personnage. Tout y est: le cigare au coin du bec, le sourire narquois, l'optimisme forcené et l'échaffaudage de plans plus tarabiscotés l'un que l'autre.
Barracuda retrouve son célèbre van noir et rouge et sa phobie de l'avion. Au revoir Mister T, devenu trop vieux pour ces conneries et bonjour Quinton Rampage Jackson. Plus grand et plus mince, aussi teigneux et ronchon, le passage de flambeau se fait sans accroc et on se régale des coups de poings d'acier du colosse noir qui s'effondre à la moindre petite piqûre destinée à l'embarquer de force dans les accrobaties aériennes de Murdock. Acteur professionnel depuis peu et cantonné aux seconds rôles à petits budgets, Quinton était lutteur professionnel avant de se reconvertir dans le 7ème art.
Le pilote déjanté et complètement allumé est incarné par Sharlto Copley. Le nom vous dit quelque chose ? Ben oui, c'est lui qui occupait le rôle titre dans District 9. Il sera au casting de District 10 qui sort bientôt ainsi que dans le troisième opus des Men in Black, sortie prévue en 2012. Tant physiquement que mentalement, le personnage ne souffre pas du changement d'acteur, Copley n'y amène rien de vraiment nouveau, comme tous les autres rôles d'ailleurs. Le réalisateur a visiblement préféré s'adjuger d'entrée l'adhésion du public de la série en évitant de les traumatiser trop vite.

Templeton Peck, le beau parleur au physique plaisant aux femmes est interprété par Bradley Cooper. Plus viril et vicieux que son prédécesseur, le rôle colle mieux au contexte et a gagné ainsi en crédibilité. Pour l'acteur qui a débuté dans la série Sex and the city, l'Agence tous risques est le premier gros rôle au box-office. Sa carrière s'est pour l'instant résumée à des séries TV de seconde zone qui n'ont pas encore permis à ses traits d'entrer dans les mémoires.

Dernier rôle de premier plan: le lieutenant Sosa est joué par la jolie Jessica Biel. Après son rôle de pilote dans Furtif, elle se montre à nouveau à son avantage dans un film d'action où ses formes sont peu mises en valeur pour laisser la place à son jeu d'actrice. Le scénario ne lui laisse guère de place, mais elle s'en tire de façon tout à fait honorable.
On a du reste une seule envie: lui arracher son uniforme militaire pour voir si son string et son soutard sont camouflés aussi.

Au final, je craignais un peu un remake lourdingue d'une série TV qui ne volait pas très haut tout de même mais qui avait le mérite de jouer avant tout la carte de l'humour et de la bonne et franche baston, sans effusion de sang.
Ce film ne déroge pas à la règle et on passera un bon moment. Les acteurs font assez facilement oublier leurs prédécesseurs en jouant au maximum sur le mimétisme mais sans toutefois forcer jusqu'à la caricature.
Gageons que des suites seront rapidement mises en chantier en donnant aux acteurs un peu plus d'indépendance scénaristique.
Pour les amateurs de la série, ne le loupez pas, vous ne pouvez pas être déçu. Pour les autres, ne boudez pas votre plaisir si vous aimez les films d'action sans prises de têtes.

Iron Man

Tony Stark est le génial président d'une société spécialisée dans la conception d'armement sophistiqué et collabore étroitement avec l'armée américaine. Après une démonstration de son tout nouveau modèle de missile, Stark est grièvement blessé dans une embuscade et enlevé par des talibans en plein milieu du désert afghan. Sommairement soigné, ses ravisseurs exigent de lui qu'il construise sur place un modèle de son nouveau missile.

Feignant de se plier aux exigences des terroristes, Tony réalise une armure qui va lui permettre d'échapper à ses bourreaux et qui est alimentée par un mini réacteur qu'il s'est fabriqué pour maintenir loin de son coeur les éclats de métal restés dans son thorax et qui menacent son existence.

Une fois rentré au pays, Tony décide d'améliorer le concept de son armure, y voyant un énorme potentiel militaire. Mais au fur et à mesure de ses travaux, il réalise que créer et vendre des armes ne contribuera jamais à la paix dans le monde. Il décide alors de faire de son prototype le véhicule d'un super-héros au service de l'humanité et de la paix. Lors d'une conférence de presse télévisée, Tony Stark annonce alors que son groupe ne fabriquera plus d'armement militaire.

Mais l'armée et son plus proche collaborateur ne l'entendent pas de cette oreille...

Premier volet de la saga, Iron Man pose les bases de la naissance du premier super-héros dont le public connaîtra bientôt l'identité. Tiré d'un comic américain, comme Superman, Batman, Spider-Man, Hellboy et autres 4 Fantastiques, Iron Man se différencie de tous les autres par le fait qu'il ne possède aucun super pouvoir. Iron Man est un simple quidam dans une armure technologique.

Incarné par Robert Downey Jr, le héros est sympathique, souriant, charmeur et génial, et l'acteur colle magnifiquement au personnage, je ne vois pas qui d'autre aurait pu l'incarner.
A ses côtés, Gwyneth Paltrow a été chargée de donner vie au personnage de Pepper Potts, la super secrétaire et femme de confiance en qui le héros délègue la totalité de ses tracas et tâches quotidiennes. Un peu guindée, toujours élégante, souriante et affable, Gwyneth endosse parfaitement le costume et on s'habitue immédiatement à ce personnage secondaire omniprésent et finalement très important, elle est un peu l'alter-égo de Miss Moneypenny pour James Bond.

Le meilleur ami de Stark, le Colonel Rhodes, est incarné par Terrence Howard que l'on a déjà pu découvrir dans Ray, A vif aux côtés de Jodie Foster, Biker BoyZ, Collision, Mission Evasion avec Bruce Willis.

Ce premier opus pose assez rapidement les personnages de Stark, Pepper Pots et Rhodes mais entre rapidement dans le vif du sujet. On regrettera un petit manque de travail sur les personnages mais cela donne au final un film d'action tonitruant très sympa à visionner.

Iron Man 2

Tony Stark a avoué au monde entier qu'il était Iron Man. Soucieux de s'approprier cette arme révolutionnaire, l'armée met un maximum de pression sur le génial inventeur qui se refuse catégoriquement à dévoiler ses secrets. Pendant ce temps, Whiplash s'est attelé à la construction de sa propre version d'Iron Man, bien décidé à se venger de Stark qu'il considère comme le voleur de l'oeuvre de son père, inventeur du réacteur miniaturisé qui fait vivre l'armure et qui aurait été détourné par le père de Tony Stark.
Grâce à l'aide d'un concurrent de Stark Industry, Whiplash fait bientôt une apparition remarquée en plein GP de F1 de Monaco, détruisant plusieurs voitures grâce à de redoutables fouets laser.
Pour Iron Man, ce nouvel ennemi bien plus puissant constitue une menace pour le monde entier et il va devoir perfectionner sa propre armure pour être en mesure de le combattre.
Lorsque Rhodes, le meilleur ami de Stark lui vole un prototype d'Iron Man, la situation se complique dangereusement et l'aide du Capitaine Fury et son équipe devient indispensable...

Dans ce second opus, Robert Downey Jr donne une nouvelle dimension à son personnage. Plus torturé, plus fragile et empli de doute, il apparaît bien seul, lâché de tous. Rhodes est à nouveau interprété par Don Cheadle et Pepper Potts, qui a pris les rênes de Stark Industry grâce à Tony Stark, est à nouveau incarnée par Gwyneth Paltrow.

Pour le méchant, on a fait appel à une gueule: Michey Rourke. Caricature d'acteur vieillissant sur le retour, ce qu'il est, il amène une tronche du plus bel effet. Méchant mais avec des raisons, il apporte au personnage une certaine sympathie qui fait qu'on ne le prend pas vraiment en grippe.

Dernier personnage qui aura son importance pour la ou les suites, Samuel L.Jackson incarne le Capitaine Fury que les fanas de Marvel situeront immédiatement.
Alors que le second opus de Hulk présentait Tony Stark, le réalisateur prépare ici aussi une suite avec un mélange de personnages.
On verra plus tard si cette apparition furtive donne lieu à une suite.

Globalement, je trouve ce second opus assez réussi. Le personnage de Tony Stark gagne en humanité et en sérieux tout en affichant quelques faiblesses qui accroissent encore la sympathie inspirée par le héros. Les effets spéciaux sont dantesques sans pour autant faire tout le film. L'action est bien sûr très présente, mais on a travaillé les personnages et donné de l'ampleur au scénario. A voir absolument.

5ème Opus de Fast & Furious prévu pour mai 2011

Teaser de Ice Age 4 prévu en juillet 2012, ou encore la dérivé des continents expliquée par Scrat

PiPhie a écrit:Teaser de Ice Age 4 prévu en juillet 2012, ou encore la dérivé des continents expliquée par Scrat

Déformation professionnelle

Mouais, t'as sûrement modifié mon post

Non, sinon, j'aurais mis dérivée

C'est c'la oui...

Excellentissime cette BO

Green Zone

Bagdad 2003. L'armée américaine a défait les forces armées irakiennes de Saddam Hussein. La situation chaotique sur place et l'hostilité croissante de l'opinion mondiale envers cette guerre impose aux américains de rapidement trouver les ADM (Armes de Destruction Massive) dont l'existence controversée a permis à Georges W.Bush la justification de l'invasion.

Le commandant Roy Miller est le chef des équipes chargées de retrouver ces armes. De site en site, Miller s'aperçoit que les renseignements qu'il reçoit sont complètement bidons et que les sites "infectés" sont en fait complètement anodins et désaffectés. De plus en plus, il a l'impression que l'on se paie sa tête et que ses chefs le baladent à risquer sa vie et celle de ses hommes pour rien.
Mais Miller n'est pas du genre à se laisser mener en bateau et va rapidement mettre le nez là où il ne devrait pas et découvrir qu'une partie de l'armée et de l'administration Bush joue un double jeu aux enjeux géopolitiques qui le dépassent.
Pour lui, cette machination doit cesser. Avec l'aide du spécialiste local de la CIA, il va tenter de mettre la main sur le très recherché Général Al Rawi, second de Saddam Hussein, qui semble détenir la vérité.

Basé sur des faits historiques aujourd'hui parfaitement connus, Green Zone s'attache à démonter les mécanismes mis en place par W.Bush et son administration pour justifier une guerre à laquelle l'opinion mondiale s'est rapidement opposée.
Matt Damon campe le commandant Roy Miller avec beaucoup de conviction. Il donne au personnage l'autorité et le caractère d'un meneur d'hommes sérieux et attaché aux valeurs qu'il est venu défendre.
A ses côtés, Jason Isaacs (Lucius Malefoy dans la saga Harry Potter) passe complètement inaperçu dans un petit rôle d'adjoint. Brown, le chef de la CIA est interprété par Brendan Gleeson que l'on aura un peu de peine à reconnaître par rapport à son rôle d'Alastor Maugrey Fol-oeil, également dans la saga HP.
Les autres rôles sont attribués à des acteurs peu connus.

Dans l'ensemble, le film est bien réalisé et se laisse regarder sans temps mort. Les rouages de la guerre en Irak sont bien reconstitués et expliqués, les divers intérêts en jeu apparaissent encore un peu troubles, mais pour celui ou celle qui s'y intéresse, Green Zone est un film documentaire à voir.
Pour les autres, on sera déçu par un film terne et ennuyeux qui tourne autour de personnages peu développés et pauvre en action musclée.
Pour une fois, la CIA est du côté des "gentils" et c'est l'entourage du plus piteux président américain de tous les temps qui en prend pour son grade. On n'en apprend pas beaucoup, mais on comprend mieux la situation et ses implications ainsi que le niveau de manipulation que le monde aura subi dans cette guerre.

Le Livre d'Eli

Dans un futur proche, le monde a été complètement ravagé. Seuls subsistent des paysages désolés peuplés de petites communautés éparses et de groupuscules de voyous prompts à détrousser les rares voyageurs.
Depuis des années, Eli parcourt à pied ce qu'il reste des Etats-Unis. Guidé par une voix intérieure qui lui enjoint d'emmener un précieux livre vers un lieu sûr, il avance jour après jour, lisant ce livre à chaque pause.
Bien que seul, il ne s'en laisse pas compter par les détrousseurs qu'il rencontre et malheur à ceux qui prendraient le risque d'essayer de le malmener, ses machettes et sa science du combat au corps à corps sont redoutables d'efficacité.

Dans une petite communauté qu'il dirige d'une main de fer au fin fond de la Californie, de ce qu'il en reste plutôt, Carnegie lance inlassablement ses troupes à la recherche de tous les livres intéressants qu'ils pourront trouver. Sa quête de savoir n'a pour but que d'asseoir son autorité par la connaissance et la maîtrise des meilleurs écrits. Il désespère de trouver un jour LE livre qui le lui permettra.

Lorsqu'il apprend qu'un mystérieux voyageur fait étape en ville avec un livre, il voit là une nouvelle chance de trouver le trésor tant convoîté.
Mais Eli n'a pas l'intention de lui offrir son précieux bouquin. Entre les deux hommes, le bras de fer est engagé...

Sorte de Mad Max philosophique, Le Livre d'Eli raconte l'épopée d'un homme seul qui se cherche et l'histoire du plus ancien livre connu, la Bible. N'y voyez pas une oeuvre de propagande religieuse, on en est très loin. Les écrits de la Bible sont ici à voir comme une parole juste que tout un chacun devrait écouter et respecter pour reconstruire un monde qui a sombré dans le chaos par la volonté des hommes.

Denzel Washington campe un personnage secret et taciturne, obnubilé par son devoir et ne s'embarrassant pas de scrupules pour y arriver. Sa prestation est étonnante et à la hauteur de sa réputation d'acteur.
Face à lui, Gary Oldman (Sirius Black dans la saga Harry Potter) interprète un personnage haut en couleur, avide de pouvoir et dominé entièrement par sa quête.
Dans les seconds rôles, on pourra apercevoir Jennifer Beals (Flashdance), Michaël Gambon (Albus Dumbledore), Frances De la Tour (Madame Olympe Maxime, maîtresse du collège de Beaux-Bâtons (toujours dans HP) et Malcom McDowell (Doomsday et le Colonel Cochrane dans Tonnerre de Feu).

Le film est bien construit sur base d'un scénario correct et des personnages suffisamment approfondis. L'hsitoire est violente par moments mais avec un fil philosophique qui fait passer le héros un peu pour un genre de Templier des temps modernes.
Intéressant à visionner une fois mais sans plus.

L'Américain

Jack est un tueur à gages efficace et expérimenté. Sans aucun scrupule, il ne laisse aucun indice ni témoin derrière lui. Pourtant, le fait d'abattre froidement la femme qu'il aimait lui laisse un goût amer et il se jure que son prochain contrat sera le dernier.
Parti se cacher au fond d'un petit village perdu dans les montagnes italiennes, Jack prend goût à cette vie de reclus qu'il mène entre les promenades champêtres et les soirées de bavardage avec le prêtre du village. Tombé amoureux d'une jeune prostituée, il a de plus en plus de mal à rester lucide. Son dernier contrat consiste à fabriquer pour une jeune femme un fusil de précision avec un silencieux. Au fur et à mesure des contacts, il apparaît de plus en plus que sa cliente n'est peut-être pas celle qu'elle prétend. Alors qu'il envisage maintenant de couler sur place des amours et des jours paisibles, il va devoir se montrer à nouveau résolu et froid dans ses choix...

Drame joué quasi à huis-clos, ce polar est interprété par un Georges Clooney très performant qui a réussi à donner à son personnage les traits froids et cyniques qui conviennent. Tout le film tourne essentiellement sur les relations intimistes que le "héros" entretient avec les seconds rôles. Ce n'est pas un film d'action, seules quelques minutes par ci par là sont plus actives, c'est avant tout un drame d'atmosphère de très bonne facture.
Aucun acteur vraiment connu ne vient lui donner la réplique, mais le casting se révèle très bon et les divers intervenants sont réalistes et crédibles, tout en sobriété.
Un psycho-drame de très bonne qualité à réserver toutefois aux amateurs du genre. Une seule vision suffira, ce n'est pas le genre de film que l'on prendra plaisir à regarder plusieurs fois.

Jean-Fi a écrit:Excellentissime cette BO

Je renchéris. Comme pour chaque opus, on se demande comment ils pourront encore nous surprendre et nous faire rire.. et pourtant ils y arrivent toujours...
Vivement le mois de juillet !

Un peu d'actualité cinéma:

Fast Five, le cinquième opus de la saga Fast & Furious est terminé en ce qui concerne le tournage. Le film est maintenant en cours de montage. Vin Diesel et la production planchent déjà sur le 6ème épisode.

Arnold Schwarzenegger est arrivé à la fin de son mandant de Governator et il a 3 projets cinémas sur le feu, dont un qui raconterait l'histoire d"un officier allemand en désaccord avec la politique du Reich pendant la seconde guerre mondiale. Il pourrait également faire partie du casting de Expendables 2 ainsi que Steven Seagal ou JCVD. Pour notre JC, il a d'ores et déjà annoncé qu'il refusait d'y être avec Seagal, Sly va donc devoir choisir.

Colin Farrell sera au casting du remake de Total Recall. Le scénario ne sera cependant pas une copie de la version avec Schwarzie, ouf. Je l'sens pas du tout.

Le tournage de Bilbon le Hobbitt va commencer le 21 février. Andy Serkis (Gollum) et Ian McKellen (Gandalf) seront de la partie.

Le 23ème Bond est en officiellement en chantier. Daniel Craig rempile et le tournage débutera en novembre 2011 pour une sortie en salles en novembre 2012.

Le troisième Batman sous la houlette de Chris Nolan, avec Christian Bale dans le rôle de l'homme chauve-souris, verra le personnage de Catwoman interprété par Anne Hathaway (Princesse malgré elle et Le diable s'habille en Prada). Elle était en concurrence avec Natalie Portman, Rachel Weisz, Naomi Watts, Jessica Biel et Keira Knightley.
Moué, je suis pas franchement convaincu du choix pour succéder à Halle Berry et Michelle Pfeiffer.

Mad Max 4: Fury Road est retardé de près d'un an en partie à cause de la météo australienne. Film d'animation en 3D, il ne sortira donc pas avant 2012. Tom Hardy (Inception) et Charlize Theron seront les "interprètes" principaux. Pas de Mel Gibson en vue.

Schwarzie dans un film sur la seconde guerre mondiale, ça va m'intéresser car j'aime les films sur cette période et je suis curieuse de voir son retour au ciné.
Pour le reste, pas trop d'opinion, je ne suis pas fan des précédentes versions.
Et à quand la suite de Terminator Renaissance ? ? ?

Le compositeur John Barry est décédé aujourd'hui d'une crise cardiaque.
Il a composé les musiques des James Bond, Danse avec les loups, Proposition indécente, Out of Africa...

C'est une immense perte pour la musique

Il était capable de faire des sommets en seulement une minute (compositeur précoce ?)

Immense talent. Deux accords, pas plus, mais inoubliable.


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BO du dernier Liam Neeson, Sans identité. Je sens que je vais aimer ça

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19182642&cfilm=170958.html

Le Rite, avec Anthony Hopkins:

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19182108&cfilm=178482.html

Intéressant

Jonah Hex, avec Josh Brolin, John Malkovitch et Megan Fox:

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19185401&cfilm=130351.html

Miam

Tant qu'à faire, ajoutons la BO de Largo Winch II

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19183289&cfilm=135541.html

BA alléchante: Requiem pour une tueuse:

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19174254&cfilm=183098.html

Disney sort prochainement un film sur l'extraordinaire aventure de la pollinisation : Pollen



La bande-annonce est alléchante, et le film pourrait s'inscrire dans la lignée d'autres réussites du genre, comme Planète bleue...

Pour en savoir plus : lien

Les Enfants de la pluie

Les Pyross et les Hydross sont deux peuplades en guerre sur une planète divisée en deux par son climat: la saison sèche voit le soleil brûler toute sa surface et les Pyross prospérer. La saison des pluies est le paradis des Hydross qui ont besoin d'eau pour vivre. Sans eau, le soleil les transforme en statues de pierres que les Pyross détruisent pour s'emparer des pierres de soleil contenues dans leur organisme.
Pour les Pyross, l'eau qu'ils appellent la Mort Pluie est pire que de l'acide. Tout contact avec l'eau les tue en quelques secondes.

Lorsque Skan, jeune écuyer Pyross découvre la jolie Kallisto, une Hydross qu'il sauve, et la façon dont les Chevaliers Pyross les exterminent, il se révolte et rejoint les quelques rares insoumis au régime de Razza, fou fanatique qui rêve de se débarrasser définitivement de cette peuplade adoratrice de l'eau.

Poussé par un amour impossible, le jeune Skan va se lancer à l'attaque de son propre peuple pour sauver sa soeur et protéger celle qu'il aime. Entre l'eau et le feu, est-il possible de ramener l'unité perdue ?

Conte philosophique dessiné et scénarisé par Philippe Caza, auteur très connu des bédéphiles (Le Monde d'Arkadi, Amiante), Les Enfants de la pluie plaira avant tout aux adultes. La mort est présente dans le film et la violence n'en est pas exclue. Le scénario est assez commun et nous parle une fois de plus de la lutte entre le bien et le mal, le jour et la nuit, l'eau et le feu, le Yin et le Yang... tout ce qui a toujours généré des guerres depuis l'existence de l'Homme.

La qualité de l'animation est correcte, mais reste assez éloignée des canons actuels tout en étant plus active que dans les mangas japonais. Le film est d'origine française, réalisé par des coréens en Hongrie, c'est vraiment ça la mondialisation.

Bien sûr, l'histoire se termine bien, un peu à l'eau de rose, mais ne boudez pas votre plaisir de voir un beau dessin illustrant une belle histoire.